Saint-André-le-Coq. Chasseurs et agriculteurs réunis . Comme n'a pas manqué de le souligner Dominique Busson, président de la société de chasse locale et président de la Fédération départementale des chasseurs du Puy-de-Dôme, « depuis de nombreuses années, chasseurs et agriculteurs se retrouvent autour d'un repas, symbole d'entente et de reconnaissance de part et d'autre ».

Il a souligné que « si les agriculteurs mettent à disposition leurs terrains pour la chasse, en compensation, les chasseurs régulent les animaux nuisibles à l'agriculture : corbeaux, ragondins et renards ».

La société de chasse compte trente chasseurs dont deux piégeurs et un garde-chasse sur une surface de 1.800 hectares dotée d'une forte densité de lièvres.

« Grâce à des comptages nocturnes de printemps, les prélèvements sont adaptés à la reproduction de l'animal », a précisé le président.

Le territoire compte aussi quelques compagnies de perdrix grises et rouges. Le chevreuil a fait son apparition depuis quelques années et peuple les boqueteaux de la commune.

Châtel-Guyon. Une équipe de la Vigilante championne départementale. Les équipes de circuit préparatoire de La Vigilante ont participé au championnat départemental organisé par le club voisin, Volvic.

Alixe Daveux, Gabriel Buffetaud, Hynde Halib Sunier, Louise Bonnas, Paloma Ténéze Germain, Piama Coubeils et Zoé Laplace ont été récompensés pour leur première compétition. En circuit préparatoire 3 (6-8 ans), Ana Nigon, Cléa Ribeiro, Louise Laplace, Lylou Guillot, Paola Carvalho et Yalena Vocel Brulois se classent cinquièmes sur douze équipes.

Une première équipe de circuit préparatoire 2 (avec Clémence El Rhandour, Elisa Renaud, Jade Peynet, Katleen Vee, Titia Rubio Guyart et Zoé Tromelin) termine sixième sur douze équipes.

La deuxième équipe de circuit préparatoire 2 (6-8 ans), composée de Alizée Roux, Anaë Chailleux Dutrève, Aelis Borg Prados, Elyne Morel, Ernestine Taboulot et Mélissa Baconnet monte sur la première marche du podium et devient championne départementale.

Cros. « Cros Dynamique et Responsable» avec Jean-Louis Gatignol. Jean-Louis Gatignol et son équipe ont la volonté de « continuer à œuvrer efficacement pour Cros. Chaque euro dépensé vise à toujours améliorer la vie des habitants, chaque action municipale est entreprise en faveur des besoins présents, chaque investissement direct engendre en contrepartie des économies ».

L'équipe souhaite « valoriser le petit patrimoine et garder à portée de vue le cap fixé sur la ligne de la transition énergétique ».

La liste « Cros Dynamique et Responsable » porte « un vrai projet de vie communale pour tous ses habitants dans un village en devenir, un "village positif" ».

La liste. Jean-Louis Gatignol, 49 ans, agriculteur. Alain Chambonnet, 75 ans, retraité. Yves Champagnat, 62 ans, retraité. Lucien Fillias, 28 ans, architecte. Valérie Gaillard, 50 ans, écrivain, professeur. Hélène Guillet, 66 ans, aide à domicile. Alain Lenaud, 72 ans, retraité. Philippe Mazière, 59 ans, commercial. Jacqueline Raynaud, 48 ans, salariée. Thierry Roux, 57 ans, artisan. Ludovic Vernet, 58 ans, artisan.

Cournon-d'Auvergne. Zoom des que poss Les assistantes maternelles de Frimousses et Calinous ont fêté Mardi Gras. coloré L'association Frimousses et calinous a fêté Mardi gras. Nounous et enfants s'étaient déguisés pour la plus grande joie de tous, ce moment était très attendu par les petits et chacun avait mis son plus beau déguisement (Spiderman, pirate, princesse…). Comme le veut la tradition, tout le monde a dégusté de très bonnes bugnes pour le goûter pour clôturer cette belle journée.

Bourg-Lastic. Clap de fin pour le Printemps des poètes. Les rencontres du Printemps des Poètes se termineront en musique et poésie, samedi 7 mars, à 20 h 30 à la salle des fêtes de la mairie.

La Grange de Jacques recevra Sébastien Guerrier et François Fabre dans « On vient chez vous », un tour de chant haut en couleurs musicales éclectiques.

Sébastien et François sont connus du public bourcagnot qu'ils ont enthousiasmé, aussi bien dans des spectacles à La Grange que lors d'animations avec les enfants ou avec les résidents des Bruyères.

Associés en duo, les chanteurs-musiciens proposent un tour de chant populaire. Leur répertoire passe par Brassens, Dimey, Brel, Ferré ou Béranger, mais aussi par Cyril C. Sarot, auteur contemporain, sans oublier, leurs propres créations.

La voix ample et sonore de Sébastien est servie par l'accordéon de François. Aux mélodies des anches libres s'invitent les sons de l'harmonica.

La guitare et des touches de saxophone ponctuent l'ensemble musical aux arrangements teintés de jazz, de folk, de trad ou de rock.

Spectacle tout public, entrée avec libre participation.

Du rififi chez le Glaude… en patois !

La troupe Lu japand d'aneu de Peschadoires remonte sur scène à partir du 22 mars à 14 h 30 à la salle des fêtes de Pont-de-Dore pour jouer « Du Rififi chez le Glaude ».

Une nouvelle pièce en patois écrite par l'un des comédiens, René Bellein qui en est à sa 17 e comédie et dont les histoires se déroulent dans la région thiernoise entre les deux guerres.

La troupe de 18 comédiens passionnés de patois, supervisée par le président Michel Gilbert de l'association les Amis du patois, est en répétition chaque semaine depuis septembre.

Cette année, la farce comique de la pièce Du Rififi chez le Glaude, parlée en patois régional, traitera des déboires du pauvre Glaude qui se fait chaparder ses jambons. Autour du Glaude, il y a sa femme, Là Tonïna, leur fille Là Féli, le gendre Jacau et le petit Toénou, qui seront également dans le jeu de rôles avec la grand-mère, les voisins, Le Néné et Là Margau, le patron du bar Le Michau, sa femme, les gendarmes, et les autres, pour une grande partie de fou rire.

Une partie de la recette sera reversée à une œuvre caritative.

Programme. Peschadoires le dimanche 22 mars à 14 h 30 à la salle des fêtes de Pont-de-Dore, dimanche 29 mars à 14 h 30 à la salle des fêtes de Saint-Rémy-sur-Durolle et le dimanche 5 avril à la salle des fêtes de Vollore-Ville.

Bilan de santé et changement d'adresse

L'ANR63 (association nationale de retraités du Puy-de-Dôme) a officiellement inauguré son bureau de permanence au centre Jean-Richepin, salle B32.

Anciennement située à la Maison des associations, l'ANR63 tiendra désormais ses permanences tous les vendredis matin de 9 heures à 11 heures dans ses nouveaux locaux, au 21 rue Jean-Richepin, en salle B32 du centre éponyme.

Créée par d'anciens salariés de La Poste, de France Télécom aujourd'hui retraités et pré-retraités, l'association compte 90.000 adhérents sur le territoire métropolitain et outre-mer, dont près de 1.700 dans le Puy-de-Dôme.

Aujourd'hui, elle est ouverte à tous les retraités du secteur public ou privé. Les missions de cette association : se retrouver, se défendre, s'entraider, s'informer et se prémunir. L'adhésion annuelle de 22 € donne accès à de multiples activités : marche, lecture, voyages, visites, jeux de société, sophrologie, informatique, chi kung, mémoire.

Le bureau est constitué de : Gérard Calmard, président ; Danielle Transon, Ange Romeo, et Philippe Escaffre, vice-présidents ; Claudette Fournet-Fayas, secrétaire ; Lucette Chalmette, trésorière.

Pratique. Plus de renseignements au 04.73.90.64.81. entre 9 heures et 11 heures les vendredis.

Une victoire avec la manière

Devant une belle assistance, les Chamaliérois ont pourtant tremblé en début de match, lorsque les visiteurs ont exercé une longue domination territoriale sans pour autant parvenir à franchir la défense stadiste.

Par la suite, Chamalières a inscrit pas moins de 11 essais avec un quadruplé de Théophile Barrière, formé au club, et un triplé de Enzo Besse qui, tous les deux, ont fait valoir leurs qualités de vitesse lors de belles courses au large qui ont enchanté le public. Bastien Serrières, Alexis Lhospitalier, Charles Laime et Dylan Braga ont également inscrit un essai lors de ce match qui a offert le plein de confiance à Chamalières à un mois du début des phases finales qui débuteront chez le premier de poule fin mars.

On notera aussi que dix de ces essais ont été transformés par Etaix.

Avec ce retentissant succès, le Stade chamalièrois est désormais assuré de disputer les 1\8 e de finale de première série Aura.

Les oppositions pour ces 1\8 e seront déterminées par la Ligue en fonction du classement mais aussi des distances géographiques, sachant que deux clubs de la même poule ne pourront s'affronter.

Ce week-end était marqué par la mise au repos de l'ensemble des catégories. Après une semaine de vacances scolaires où les entraînements cadets et juniors étaient également annulés, le retour sur le pré est programmé à partir de samedi 7 mars pour l'entraînement des moins de 8 ans à 10 heures à Chatrousse. Les autres équipes reprendront normalement la semaine prochaine.

Billom. Les nouveaux travaux de Nicolas Anglade s'exposent entre Billom et Perignat . Deux expositions, du photographe Nicolas Anglade, sont prévues sur le territoire de Billom communauté.

Il avait déjà passé un an en résidence sur le territoire de Billom communauté en 2016\2017 au cours duquel il a réalisé de nombreux clichés en faisant la part belle aux paysages, aux petits détails, aux moments suspendus, aux visages et aux mouvements.

La première exposition est Entre les murs de l'ancien collège . La ville de Billom, Rural Combo et Billom Communauté lui avait passé commande lors des journées européennes du patrimoine 2019 et la réouverture de l'ancien collège pour garder une trace, un regard posé sur ces journées… Nicolas Anglade y a promené son œil tout au long des visites guidées et animations.

Il présente une sélection d'images, savant mélange de portraits d'étranges créatures, d'ambiances glanées dans les recoins du collège, de moments saisis sur le vif. L'exposition a été conçue pour deux lieux billomois : la médiathèque (du 7 mars au 1 er avril, vernissage, samedi 7 mars à 11 h 30) et l'ancien collège (du 11 mars au 1 er avril)

Le dévernissage sera le mercredi 1 er avril entre 16 heures et 18 heures sous la forme d'un goûter photo.

La deuxième exposition est Périgrinations. Depuis sa résidence en 2016\2017 sur le territoire de Billom communauté, il a parcouru bien des espaces, en Auvergne et ailleurs. L'exposition présentera de nouveaux clichés qui sont autant de regards posés au gré de ses pérégrinations, des terres des paysans aux ports bretons en passant par les USA.

Au début de l'exposition, Nicolas présentera une série de diaporamas sonores, fruit d'une escapade en solitaire dans le Cézallier et d'un travail sonore et poétique réalisé avec Claudine Cros (projet né d'une commande du conseil départemental du Puy-de-Dôme).

Cette exposition sera visible à la Maison Grenouille à Pérignat-ès-Allier du 2 au 27 avril.

Le vernissage avec diaporama sonore aura lieu jeudi 2 avril à 18 h 30 avec un concert exceptionnel du duo Richard Poher et Eric Pigeon

Il livre chaque semaine plus de 120 habitués

Tous les jours, il se lève à 2 heures pour fabriquer le pain. Et sur les coups de 8 h 30, enchaîne avec la tournée qui reste, pour Stéphane Verdier, boulanger « une occasion de sortir de mon fournil et de voir du monde ».

Il est 8 h 30, donc, ce mercredi de fin février. Alors que Christine Mathieu, la serveuse, jongle dans la boutique entre la distribution des pains et les commandes, Stéphane Verdier, à l'arrière du magasin, prépare sa tournée journalière. En plus des pains, baguettes et autres couronnes, il charge dans sa camionnette quelques produits d'épicerie. Ce matin, direction Cros puis les hameaux en remontant sur la route de Saint-Donat, avant de finir par les lieux-dits Haute Perre et Le Ponchet, proches de Bagnols. Une quarantaine de kilomètres ponctués d'une trentaine d'arrêts chez des habitués de longue date. Avec une invitée surprise ce jour : la neige qui, par endroits, a recouvert la route. Du coup, Stéphane a délaissé son camion pour prendre un véhicule plus petit mais équipé pour la circonstance.

Après un premier arrêt à Cros chez Yvette, la bistrotière, puis la livraison au restaurant d'Huguette, le boulanger arrive chez Denise, 82 ans. Il est le dernier boulanger à faire une tournée à 10 km à la ronde autour de Bagnols ; « dans certains villages, il n'y a plus de fournil depuis longtemps ». Les personnes qui travaillent s'approvisionnent souvent en pain au cours de leur trajet, mais les plus âgées sont dépendantes de la tournée de Stéphane.

« Je fais 150 km en moyenne par semaine, pour toucher un bassin de population assez grand » avoue-t-il avant d'arriver chez Lionel. Ce dernier est absent. Qu'importe. Stéphane lui dépose une couronne : « les codes sont bien établis, lorsqu'un sac est accroché à la porte, cela signifie qu'on a besoin de pain. Une vraie relation de confiance s'est instaurée au fil des années.

Pas d'inconnus sur la tournée. Stéphane tutoie, vouvoie. « On est aussi pour certains la seule visite de la journée ». Il est à l'écoute, la convivialité est toujours au rendez-vous, « je ne peux pas rester pour prendre le café chez tous mes clients sinon il me faudrait le double de temps », sourit le boulanger.

Un coup de klaxon pour signaler son arrivée et Lulu l'accueille avec un large sourire. De celui qui lui donne envie de continuer. « Certes, le pain est plus cher de 5 centimes pour le client mais cela compense le prix de l'essence. Je réalise aujourd'hui 40 % de mon chiffre d'affaires en vente ambulante » note le boulanger de 45 ans. Et même si depuis qu'il a repris la boulangerie de Bagnols en 2005, il a vu quelque 70 maisons fermer leurs volets définitivement, il continue de livrer chaque semaine plus de 120 habitués, « auxquels s'ajoutent les occupants des résidences secondaires l'été dès lors qu'ils me préviennent ».

Au détour d'un chemin qui mène chez Pierre, Stéphane croise le fromager de Lanobre, lui aussi, en tournée, avant d'arriver à Bertinet, point culminant du circuit du jour à 1.150 m d'altitude et de replonger sur Bagnols via Le Ponchet.

Midi arrive et le périple de Stéphane s'achève. Mais pas sa journée. Après une sieste bien méritée, retour au magasin à 17 heures avant de tirer définitivement le rideau à 19 h 30-20 heures. Demain, une autre virée l'attend. Dans d'autres villages. Quasiment cinquante-deux semaines sur cinquante-deux. Car Stéphane prend peu de vacances : « Sans les tournées, je serais capable de m'ennuyer ».

Toute la violence féminin…

Les « femmes-fauves » qui ont surmonté les poncifs d'éducation inculqués dès leur jeune âge, à savoir le respect dû aux hommes et la soumission, pour se révéler dominatrices, voire criminelles, ont inspiré Fanny Caron et Mathilda Bernard, deux comédiennes clermontoises du collectif Romy.

Lors de leur spectacle Fauves, Femina Violentiam, proposé sur la scène de La Pléiade, elles leur ont prêté leurs voix et une partie de leur être le temps d'une véritable performance.

Venus frissonner, les spectateurs ont pris place dans l'intimité du cabinet de lecture des deux artistes, occupées à sélectionner quelques morceaux choisis de la littérature ou de la chanson.

Bien vite, les livres sont saisis et les personnalités de ces fauves, femmes ayant renoncé à tout idéal féminin au nom de l'égalité des sexes, sont disséquées en portraits féroces.

La violence des femmes est exposée sur le devant la scène en paroles choc et regards insidieux « Moi, déjà morte, le couteau à la main… », n'était qu'un prélude avant que soient notamment convoquées Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron, les égéries du mouvement Action Directe.

Les récits sombres et accablants sont efficaces et les hommes n'interviennent que pour servir drolatiquement la verve des comédiennes, impayables dans les discours emmêlés des psychologues et psychiatres débités à la barre du tribunal.

Elles font peur ou pitié, elles sont tordues, crânes rasés. Emportées par une tourmente de violence venue de la nuit des temps, celles qui ne savent pas se tenir se prennent pour des hommes. Mais sont-elles plus victimes que coupables ?

Le temps d'une chanson légère elles reprennent une part de féminité, mais il suffit qu'une voix masculine s'invite pour tout faire basculer. Les voici redevenues fauves !

Nous ne ferons pas le voyage ensemble. Malgré nos sollicitations, la candidate du Rassemblement National, Anne Biscos n’a pas donné une suite favorable à notre invitation de parcourir Clermont par le tram, comme cela a été accepté par l’ensemble des autres candidats.

Nous le déplorons car, par souci d’équité, cette proposition, comme toutes les autres d’ailleurs, a été formulée auprès de l’ensemble des candidats en lice pour l’élection.

Conformément à la charte de nos huit engagements, nous avons fait le choix de ne pas subir les agendas des candidats et de proposer à nos lecteurs des contenus que nous maîtrisons de bout en bout, comme cette opération « Dans le tram avec… » qui a permis à chacun, dans un format innovant, de donner sa vision et son programme pour le Clermont de demain.

Anne Biscos a présenté, ce mercredi, ses colistiers. Nous y étions et nous en rendons compte. Mais nous regrettons encore de ne pas avoir pu faire le trajet dans le tram avec elle, pour qu’elle puisse présenter son programme pour Clermont. Personne ne pourra, en tous cas, nous reprocher de ne pas avoir essayé.

Sandrine Thomas, Rédactrice en chef de La Montagnesandrine.thomas@centrefrance.comFollow @sandrinthomas

«L’urgence écologique, sociale et même démocratique. Voilà ce qui nous a motivés, ce qui nous a réunis. » Laurent Pradier et Hélène Fourvel-Pelletier parlent d’une seule voix. Un air de déjà-vu ? En 2014, le duo s’était déjà présenté. « Durant six ans, nous n’avons pas trouvé un projet qui aille dans le sens du nôtre, de l’environnement. Nous avons vu l’aménagement de la ville se dégrader. Nous n’avons pas envie que cela continue. »

Ils ont donc décidé de reformer une liste, écolo-indépendante, composée d’un tiers d’anciens candidats. « Nous avons travaillé très fort ensemble, il y a six ans. Nous avons entretenu cette cohésion. » Parmi « ce socle »,  Maëlle Viers-Doye, en quatrième position sur la liste, ou François Blanc.

Du côté des nouveaux : Brigitte Pailloncy, actuelle conseillère municipale de la majorité, « dont nous connaissons la force de travail et son engagement pour le social » ou encore Clément Blasco, longtemps impliqué auprès de l’association Jeunesse et reconstruction.

« Nous avons un positionnement intellectuel identique. L’environnement se dégrade : que pouvons-nous faire au niveau de la commune et de l’Agglo ? »

Pour eux, l’aménagement de la ville est au centre de tout.

« Actuellement, quand on implante des bâtiments, on ne réfléchit pas. On ne préserve pas de foncier pour l’avenir. Il faut en garder, notamment agricole, afin de faire du maraîchage, arrêter de bétonner à la périphérie, retrouver des zones de jardin en bord de couze. Retrouver ce qui fait l’identité d’Issoire, comme les biefs. »

Pour Pomel, « outre les expositions, il faut qu’il y ait un centre de formation. Et surtout, que les salles ne soient pas à vocation unique. Aujourd’hui, dès qu’on a un besoin, on construit un bâtiment. Or, ce n’est pas lutter contre le gaspillage… »

Laurent Pradier et Hélène Fourvel-Pelletier ont aussi le souhait de créer un poste d’adjoint à la santé et à l’alimentation. « Avec les moyens qui vont avec. Nous devons aussi nous engager dans l’économie circulaire, et accompagner les projets solidaires. »

Les 34 noms de la liste "Changeons d'air"

1. Laurent Pradier, gérant de société, 55 ans ; 2. Hélène Fourvel-Pelletier, inspectrice des impôts retraitée, 65 ans ; 3. Clément Blasco, ouvrier du bâtiment, 30 ans ; 4. Maëlle Viers-Doye, assistante maternelle, 65 ans ; 5. Florent-Jean Fargette, éducateur spécialisé, 38 ans ; 6. Brigitte Pailloncy, professeure retraitée, 71 ans ; 7. Hugo Marcault, technicien biomédical, 44 ans ; 8. Clémence Agaccio, ingénieure agronome, 27 ans ; 9. François Blanc, professeur des universités, 73 ans ; 10. Isiane Lapouge, étudiante, 20 ans ; 11. Philippe Caspar-Fritsch, artiste-peintre, 37 ans ; 12. Laure Longuet, conseillère à l’emploi, 59 ans ; 13. David-André Mayer, professeur en sciences économiques, 49 ans ; 14. Laetitia Gory, ouvrière de production, 44 ans ; 15. Stéphane Boyer, diagnostiqueur immobilier, 44 ans ; 16. Fabienne Trecan, accompagnante de vie, 52 ans ; 17. Mathis Fouilhoux, magasinier-cariste, 29 ans ; 18. Sarah Fournier, employée de restauration, 21 ans ; 19. Jason Beraud, technicien éolien, 28 ans ; 20. Éléa Bonnel-Mateu, animatrice sportive, 29 ans ; 21. Alain Brousse, chauffeur, 57 ans ; 22. Marie Beola, ingénieure-informatique retraitée, 66 ans ; 23. Gilles Dubief, technicien, 53 ans ; 24. Christine Juillard, sans emploi, 58 ans ; 25. Jean-Luc Estivaux, guide-conférencier, 66 ans ; 26. Léa Dufay, étudiante, 20 ans ; 27. Romain Bonjean, saisonnier, 23 ans ; 28. Gisèle Sauvadet, sans emploi, 55 ans ; 29. Bruno Szczotkowski, photographe, 62 ans ; 30. Josiane Fouilloux, employée de commerce, 39 ans ; 31. Pascal Tarraire, éducateur spécialisé retraité, 48 ans ; 32. Véronique Carrias, professeure Qi gong, 52 ans ; 33. François Roche, électricien, 59 ans ; 34. Marguerite Lucquiaud, infirmière retraitée, 74 ans.

Thiézac. Christian Cammas se présente aux municipales. Christian Cammas, 69 ans, retraité, se présente aux municipales en candidat individuel. « C'est l'envie de m'investir pour la commune et de participer aux débats, en apportant mon éclairage de manière positive, qui motive ma démarche. »

Saint-Victour. Jean-Marc Bodin brigue un troisième mandat . Les candidats à l'élection municipale organisent une réunion mercredi 11 mars, à 20 heures, à la salle polyvalente.

Les membres de la liste Unis pour Saint-Victour se présenteront et commenteront leur projet pour la mandature à venir.

La liste. Jean-Marc Bodin, 59 ans, instituteur, maire sortant ; Dominique Urbaniak, 62 ans, sans profession, conseiller sortant ; Paul Annette, 58 ans, gendarme ; Audrey Beynat, 30 ans, secrétaire de mairie ; Franck Chamfreau, 49 ans, chauffeur ; Muriel Champoux, 49 ans, en invalidité ; Stéphane Charmoillaux, 33 ans, ingénieur ; Mireille Delmas, 61 ans, ouvrière en maroquinerie ; Frédéric Demaret, 57 ans, retraité ; Rémi Mas, 29 ans, infirmier ; Rose-Marie Mattioz, 53 ans, monitrice d'équitation.

Labesserette. Jean -Pascal Perrier tête de liste. Jean-Pascal Perier conduira la liste Sansac-Autrement pour la commune de Sansac-Veinazès, liste constituée d'un groupe socialement représentatif et composé de neuf nouveaux candidats.

« Notre feuille de route et les projets qui pourraient y être associés seront bien sûr conditionnés à la situation comptable de notre village et aux contraintes budgétaires en vigueur. Notre démarche n'est en rien animée par de vieilles rancœurs se traduisant par une opposition frontale ou le parrainage d'une démarche d'intérêt strictement individuel. Le consensus sera notre credo pour le bien du plus grand nombre et le respect sans conditions des règles de la république ».

La Liste. Jean-Pascal Perrier, Françoise Angelvy, Nicolas Artal, Pierre Bonnet, Robert Capelle, Hélène Château, Georges Froment, Alain Gonzalès, Jean-Pierre Lacassagne.

Gumond. Mieux vivre à Gumond présente son équipe. Les 15 et 22 mars prochain, les candidats de la liste Mieux vivre à Gumond se présentent aux élections municipales. Trois femmes et quatre hommes composent la liste, d'une moyennen d'âge de 52,5 ans, à forces multiples, dont le principal objectif est de « donner un nouvel élan à Gumond, afin de rendre la commune encore plus agréable à vivre, d'attirer des populations nouvelles. »

C'est une équipe sans étiquette, toutes politiques confondues, un Conseil municipal ouvert pour être à l'écoute de la population, des besoins, permettre les échanges d'idées. De soutenir les projets des particuliers ou des professionnels plutôt que de les entraver pour favoriser le développement de la commune. Soutenir la vie associative, œuvrer pour une entente intercommunale qui ne peut qu'apporter des retombées économiques, mener des projets communaux adaptés à la commune et pour terminer faire perdurer la qualité de vie en milieu rural.

La liste par ordre alphabétique. Jacques Caudy (67 ans), Martine Faivre (63 ans), Edouard Lerondel (35 ans), Yves Lidove (62 ans), Pascaline Pierre dit Mery (63 ans), Eric Rouanne (41 ans) et Sabrina Vuillaume (36 ans).

Son programme : poursuivre les efforts entrepris aux cours des derniers mandats dans l'intérêt communal.

La liste. Yves Pronnier, 58 ans, retraité de la gendarmerie ; Damien Marquet, 46 ans, agent territorial ; Pascale Franckx, 58 ans, sans emploi ; Alain Joly, 61 ans, agriculteur ; Ghislaine Billebault, 63 ans, agent hospitalière retraitée ; Bernadette Racollet, 43 ans, assistante maternelle ; Jean François Copet, 46 ans, agent territorial ; Carole Dujon, 34 ans, comptable ; Sébastien Bonnabaud, 43 ans agent de maintenance ; Patrick Deberdt, 65 ans retraité SNCF, conseiller sortant ; Julien Vanney, 37 ans, professeur des écoles ; Jérôme Grouly, 44 ans, agent SNCF, conseiller sortant ; Didier Baillon, 52 ans, conducteur routier, conseiller sortant ; Alain Pouzerat, 65 ans, retraité, adjoint sortant.

Eyrein. Une liste unique pour Eyrein. Une liste unique vient d'être dévoilée à Eyrein. André Lescure ne souhaite pas se représenter. Maire adjoint de 1983 à 1995, maire de 2001 à 2008 et de 2014 à ce jour, il passe le relais à une nouvelle équipe composée de 4 conseillers sortants auxquels se sont joints des femmes et des hommes soucieux des besoins de leur commune, de milieux sociaux-professionnels différents.

Cette commune a choisi de s'engager pour les intérêts et au service de leur commune. Des opinions et des points de vue divers seront nécessaires à la gestion et à l'évolution de la commune, aussi, les membres de cette liste vont venir à la rencontre de leurs électeurs pour se faire connaître et recueillir leurs suggestions et désirs.

Pour les six années à venir, ils souhaitent faire construire des toilettes à l'étang de la Chèze, aménager le bâtiment à côté du city stade pour les associations, et utiliser la salle des fêtes pour des activités culturelles. L'ouverture d'un commerce est même à l'étude.

Ils souhaitent également être très prudents en ce qui concerne l'avenir de l'école. L'agrandissement du lotissement devrait permettre une optimisation des effectifs scolaires.

La nouvelle équipe désire faciliter la tâche des bénévoles et responsables d'associations qui proposent des animations aux habitants d'Eyrein. Ils continueront à défendre les intérêts de la commune auprès de Tulle-Agglo.

La liste. Jean-François Salles, 61 ans, retraité, Treinsoutrot ; Marie-Thérèse Agnoux, 66 ans, retraitée, La Jugie ; Marie-Pierre Le Mignon, 60 ans, retraitée de l'enseignement, le bourg ; Kim Chastre, 26 ans, employée de banque, le bourg ; Mireille Mazeau, 66 ans, retraitée, La Jugie ; Christelle Caudie, 47 ans, famille d'accueil, le bourg ; Jean-Philippe Morena, 70 ans, retraité, la gare d'Eyrein ; Nadia Daumard, 48 ans, aide- soignante, la gare d'Eyrein ; Patricia Noilhac, 56 ans, assistante maternelle, le bourg ; Sébastien Garcia, 43 ans, magasinier, le bourg ; Patrice Rivière, 48 ans, artisan, la Rebeyrotte ; Isabelle Grancher, 58 ans, décoratrice d'ameublement, La Jugie ; Fabrice Sabeau, 54 ans, arboriculteur, le bourg ; Patrick Hermabessière, 59 ans, chef de service, La Rebeyrotte ; Jean-Marie Sainneville, 50 ans, Logisticien, Royères.

Laroquebrou. Pascal Malvezin présente sa liste « Laroquebrou mon village ». « C'est entouré d'une équipe de femmes et d'hommes venant d'horizons divers, aux expériences et aux compétences complémentaires, que j'ai décidé de solliciter vos suffrages, à la tête de la liste « Laroquebrou mon village », explique Pascal Malvezin. « La première action que nous conduirons sera de mettre un terme à l'isolement de notre commune. Nous devons renouer un dialogue constructif avec la communauté de communes, le Département et la Région. Aucun projet ne peut se construire seul.

Nous devrons être attentifs aux finances de la commune en menant une gestion saine. Dès que possible nous initierons une baisse du taux communal sur le foncier bâti qui aujourd'hui nous place au sixième rang des communes les plus imposées. Enfin, avec le bon sens qui caractérise notre équipe, nous opterons pour un retour aux circuits courts pour approvisionner notre cantine scolaire et notre maison de retraite. Nous valoriserons ainsi notre tradition charcutière qui fait la renommée de notre cité et par là même notre abattoir, le seul de la grande communauté de communes ».

La liste. Pierre Audissergues, 53 ans, fonctionnaire de police ; Fabrice Carneiro, 46 ans, artisan ; Bernard Collange, 67 ans, retraité commercial ; Magalie Constant, 47 ans, assistante maternelle ; Albin Fournier, 64 ans, retraité gendarmerie ; Gilbert Fraysse, 62 ans, retraité SNCF ; Josette Fresquet, 69 ans, retraitée éducation nationale ; Sandrine Guieu, 48 ans, ingénieur ; Thierry Laurent, 49 ans, chauffeur ; Isabelle Lepczynski, 57 ans, assistance véterinaire ; Pascal Malvezin, 56 ans, fonctionnaire hospitalier ; Marie Monchaux, 70 ans, retraitée pharmacienne ; Pierre Rey, 45 ans, contremaire RTE ; Jean-Pierre Salavert, 62 ans, assistant architecte ; Jean-Claude Turquet, 72 ans, retraité artisan.