Moins de deux semaines avant le premier tour des municipales et une seule certitude à Pont-du-Château : trois listes sont inscrites en préfecture. Rivales mais avec quelques similitudes…

Inévitablement, l’ombre de René Vinzio (maire de 2001 à 2019) planera sur le scrutin municipal.

Parce que son ancien premier adjoint, Patrick Perrin, maire depuis un an, est candidat à sa propre succession à la tête de la liste « Avec passion, avec raison ; Pont-du-Château 2020, avançons ensemble ».

Parce que son ancienne adjointe en charge des affaires scolaires (2008-2015), Nathalie Cardona (qu’il a choisi de soutenir pour ces élections) est elle aussi à la tête d’une liste, « Ensemble, construisons Pont-du-Château »… Sur laquelle se trouve une certaine Sandrine Vinzio, sa propre fille.

Parce que son adversaire de 2014, Michel Mirand, a décidé de se présenter une nouvelle fois devant les électeurs, avec une équipe remodelée (« Pont-du-Château 2020 ») dans laquelle apparaît Dominique Croso, ancien adjoint en charge des finances de… René Vinzio.

Le Castelpontin attaché aux étiquettes politiques doit savoir que les cartes ont été rebattues depuis le scrutin de 2014.

Si René Vinzio revendiquait d’être Chevénementiste, Patrick Perrin avance aujourd’hui « sans étiquette », suite à sa démission du Parti socialiste en décembre dernier. Il a néanmoins reçu le soutien d’Europe écologie Les Verts pour ces élections.

La candidate du PS, c’est Nathalie Cardona, investie par les adhérents locaux en octobre dernier… au détriment de Patrick Perrin. La conseillère départementale du canton de Pont-du-Château a également l’appui du Parti communiste qui a glissé trois candidats dans l’équipe.

Enfin, la troisième liste favorise le rapprochement entre la droite et le centre puisque Michel Mirand, délégué Les Républicains dans la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme, y côtoie Dominique Croso, désigné chef de file de La République en Marche pour ces élections.

Outre des moyennes d’âge assez proches (54 ans pour la liste de Nathalie Cardona, 51 pour celle de Michel Mirand et 50 pour celle de Patrick Perrin), l’un des points communs aux trois listes, c’est le fait d’avoir dans leurs rangs des conseillers municipaux sortants.

Patrick Perrin a entraîné dans son sillage quatre adjoints sortants (Marie-Ange Aubry, Catherine Herraiz, Régine Landrevie, Jean-Marie Vallée) et deux conseillères (Gisèle Bauland, Marie-Hélène Roux).

Nathalie Cardona est partie en campagne avec neuf candidats qui figuraient sur la liste de René Vinzio en 2014, dont une adjointe sortante (Suzanne Capalija) et quatre conseillers sortants (Martine Faucher, Stéphane Pitelet, Eric Allard, Eliane Frejat).

Michel Mirand, conseiller d’opposition depuis 2008, s’est entouré d’élus sortants comme Dominique Croso, Jean-Christophe Bellanger, Laurence Maul, Liliane Lejeune-Clauge, Jean-Pierre Poulet, Jacqueline Bourguet.

Thierry Senzier

Dans une campagne, il y a des figures imposées. À de très rares exceptions, il ne viendrait à l’esprit d’aucun candidat de faire l’impasse sur les réunions publiques, de ne pas distribuer son programme ou d’oublier de coller ses affiches sur les panneaux électoraux. En clair, de ne pas être sur le terrain au contact des électeurs.

D’aucuns, pourtant, ne se privent pas de revisiter ces standards ou de chercher à innover pour convaincre. La preuve à Montluçon, où avec huit listes en compétition, la plupart des candidats cherchent à se démarquer pour marquer les esprits. En particulier sur le terrain numérique même si la portée des sites et réseaux sociaux est difficile à juger.

Certains candidats en avaient déjà créé un en 2014, mais les outils à leur disposition les rendent bien plus navigables six ans plus tard. Sylvie Sartirano (sans étiquette) estime qu’à l’échelle d’une ville comme Montluçon, « c’est un moyen exceptionnel d’atteindre un plus large public. On ne peut plus faire sans, même si on ne peut pas s’en contenter ».

« Cela permet de toucher des personnes qui ne participent pas aux réunions publiques, abonde Frédéric Kott (divers gauche). Et de mettre à disposition des documents de manière durable et à moindre frais car nous tenons à une certaine modestie dans les moyens engagés pour faire campagne. »

Plusieurs candidats ont fait le choix de scénariser leur campagne comme un feuilleton. Notamment pour distiller les noms de leurs colistiers. Exemple avec Sylvie Sartirano qui a dévoilé, chaque semaine à partir du mois d’octobre, un portrait de deux colistiers sur son site internet. « C’est la page qui est la plus regardée, confie-t-elle. Et cela constitue une autre porte d’entrée vers nos propositions. »

Idem pour Frédéric Laporte (LR) qui, sur sa page Facebook de candidat, propose pour sa part, chaque jour, de courtes vidéos où ses colistiers se présentent.

On s’aperçoit que ce format de vidéos a un taux de partage important et cela permet de toucher aussi une population différente

Candidat pour la première fois, Jean-François Jarrige (LREM) a procédé sensiblement de la même manière. Sur la page Facebook de sa liste, il a d’abord dévoilé quatre noms de colistiers, mi-janvier, puis une quinzaine d’autres début février, avant de présenter sa liste au complet, le 23 février.

Stéphanie Charret (divers gauche) est allée plus loin dans le « teasing » avec, dès le mois de mars 2019, la création d’une page Facebook baptisée « En 2020, tournons la page », délibérément pensée pour susciter la curiosité avant de devenir la page officielle de sa liste.

Toujours sur les réseaux sociaux, au moins trois candidats annoncent la couleur ou proposent de l’annoncer avec des bannières ou des décors à appliquer sur sa photo de profil : Jean-François Jarrige, Frédéric Kott et Frédéric Laporte (LR). Ce n’est pas nouveau sur Facebook, mais on était très loin de tout cela, il y a six ans.

« Ça amène de la visibilité vers l’extérieur en même temps que ça renforce le sentiment d’appartenance à la démarche. Comme en sport, ça montre qu’on mouille le maillot ensemble. »

« Cela permet aux gens qui veulent marquer leur soutien de le faire de manière à la fois visible et sans avoir à remplacer leur photo, prolonge Julien Barichard, colistier de Frédéric Laporte, très investi sur les réseaux sociaux. Cela a aussi un effet boule de neige dans le sens où Facebook valorise les pages qui proposent des contenus riches. »

Plusieurs candidats montluçonnais ont créé un compte Instagram, ce réseau social dédié aux photos mais où l’on peut aussi publier de courtes vidéos sous la forme de « story ».

C’est notamment le cas de Frédéric Laporte et Jean-François Jarrige qui y publient leurs propositions. Mais dans l’ensemble les listes alimentent peu leur compte et ne réunissent que très peu d’abonnés.

C’est l’idée proposée par l’équipe de Frédéric Laporte, sur le modèle des soirées d’« après le travail » à l’anglo-saxonne. L’invitation passe par un « événement Facebook ».

L’objectif ? « Avoir la possibilité de s’adresser à un public différent et en particulier de toucher les 20-35 ans pour leur donner envie de voter plus », souligne Frédéric Laporte. « On est dans un contexte de détente et d’échanges avec de la musique en fond, ce n’est pas pour faire la bringue », prolonge Julien Barichard.

En marge des réunions ou rencontres de quartier qu’elle a pu proposer, Sylvie Sartirano a testé les réunions style vente à domicile. « J’ai demandé à chacun de mes colistiers de proposer un échange avec six à dix personnes de leur entourage parce qu’ils étaient hésitants ou ne me connaissaient pas. » Son idée : ne surtout pas réunir des soutiens.

Les questions ont été cash. Après, ils voteront pour nous ou non, mais c’était intéressant

Pour se différencier, en plus de dire non à Facebook car il « refuse d’être pollué par certaines pratiques aigres-douces des réseaux sociaux », Joseph Roudillon (DVD) a misé sur le vert.

Nous plantons 50 arbres avec Reforest’Action, soit l’équivalent de 7,5 tonnes de CO2 stockées

Il va même plus loin puisqu’il propose aux électeurs de l’aider à « limiter [son] impact » en faisant « circuler » ou en téléchargeant son programme sur son site internet.

Michaël Nicolas

Le détenu avait bénéficié d’une permission de sortie, jeudi 6 février, pour se rendre à Pôle emploi. En fin de peine, il préparait sa sortie. Mais il n’est pas retourné au centre pénitentiaire de Moulins-Yzeure. Le jour même, les policiers l’ont retrouvé chez son petit ami à Avermes. Il avait donc réintégré la prison dans la soirée. Mais lors de cette interpellation, les forces de l’ordre ont été marquées par la ressemblance entre l’évadé et un homme qui a commis une extorsion de fonds, à Yzeure, le 18 novembre 2017.

Ce jour-là, un homme de 58 ans était rentré pour retirer du liquide dans une banque, alors que le guichet était fermé. Alors qu’il composait son code, un assaillant s’était approché par-derrière et lui avait réclamé 50 euros en le menaçant avec un couteau.

Les photos et la vidéo surveillance ont permis de confondre le détenu. Le jeune homme a été extrait de la prison, lundi 2 mars, pour être placé en garde à vue. Lors de son audition par les policiers du commissariat de Moulins, il aurait reconnu les faits et se serait excusé. Il devra s’expliquer sur ces faits d’extorsion de fonds devant le tribunal correctionnel de Moulins en août prochain.

Marie Collinet

Belote - Poker

Châtel-Guyon. A partir de 19 h, le vendredi, au Casino, tournoi de poker. Réservations au 06.98.52.24.10.

Flayat. A 19 h 30, à la salle des fêtes, concours de belote. Engagement : 15 €. Un lot à chaque équipe. Tombola. Buvette. Crêpes. Renseignements au 06.07.89.16.96.

Chambaron-sur-Morge. A 14 h, à la salle polyvalente de La Moutade, concours de belote. Inscription sur place dès 13 h 15. Engagement : non communiqué. Lots à chaque participant. Buffet buvette. 04.73.97.21.74.

Pouzol. A 14 h, à la  salle polyvalente, concours de belote.  Engagement : 16 €. Un lot à chaque participant. Loterie. Buffet. Buvette. Renseignements au 09.60.00.64.36.

Saint-Gervais-d’Auvergne. A partir de 14 h, à l’espace de vie rurale, concours de belote. Verneugheol. A partir de 14 h, à la salle des fêtes, concours de belote. Engagement : 15 € par équipe. Renseignements au 04.73.22.17.86.

Verneugheol. A partir de  14 h,  à la salle des fêtes, concours de belote. Engagement : 15  € par équipe. Renseignements au 04.73.22.17.86.

Mozac. A 20 h, à la salle Arlequin. Cartons : 4 € l’un, 10 € les 3, 20 € les 7. Buvette. Renseignements au 06.74.62.32.43.

Cébazat. A 20 h, au Sémaphore. Ouverture des portes à 19 h 30 . Deux parties spéciales enfants gratuites. Cartons : 4 € l’un, 10 € les 3, 16 € les 5, 20 € les 7. Buvette. Pâtisseries.

07.03 Cebazat Le club regain organise son loto le samedi 7 mars à 13 h 30 à la salle Robert-Chrétien. De nombreux lots sont à gagner.

Sauvagnat. A 21 h, à la salle des fêtes. Ouverture des portes à 20 h. Cartes : : 4 € l’une,  10 € les 3, 15 € les 5 et 20 € les 7.

Saint-Ours. A partir de 19 h, à la salle polyvalente. Sept parties dont 1 partie spéciale enfants et 1 spéciale salle. Cartons : 4 € l’un, 10 € les 3. Tombola. Buvette. Petite restauration.

Cébazat. A 14 h, au Sémaphore. Parties enfants. Cartons : 4 € l’un, 10 € les 3, 16 € les 5, 20 € les 7. Tombola. Buvette. Restauration sur place.

Châtel-Guyon. A partir de 15 h, à la salle des fêtes, route de Chazeron, thé dansant. Entrée : 6 €. Renseignements au 06.63.68.73.06.

Villosanges.  A 23 h, à la salle des fêtes,  bal «  Fluo Party  » animé  par la discomobile Keops. Peinture fluorescente à l’entrée pour briller toute la soirée.  Entrée :  5 €.

Châtel-Guyon. A partir de 15 h, à la salle des fêtes, bal musette animé par l’orchestre Mélody Musette. Organisé par Les Danseurs Brayauds Entrée : 10 €/Gratuit (- de 10 ans). Tombola. Buvette. Pâtisseries Réservation recommandée au 04.70.56.10.40.

Saint-Georges-de-Mons. A partir de 14 h 30, à la salle des fêtes, thé dansant animé par un orchestre. Buffet. Buvette. Réservations aux 04.73.86.72.46 et 04.73.86.72.93.

Riom. De 15 h à 21 h, à l’Indian Saloon, 101, rue de l'Ambène, après-midi dansant, animé par DJ Bruno. Paso dobles, valses, tangos, boléros, chacha, fox trot, madison, rock’n’roll, bachata, disco, 80’s et les meilleurs tubes du moment. Entrée : 10 € (avec une consommation). Renseignements au 04.73.63.19.09.

Gelles. A partir de 20 h, au foyer Espinasse, Fête de la Grenouille, repas avec animation musicale. Repas : 20 €. Réservations aux 04.73.87.83.57 et 06.58.33.04.77.

Gerzat. A partir de 19 h, à la salle le Galion, repas dansant « paella », animé par Melody Musette (musique disco, année 80). Repas : 25 € (verre de Sangria et café offerts)/10 € (- de 10 ans). Réservations aux 06.74.05.74.79.et 06.62.16.74.79.

Saint-André-le-Coq. A 20 h, au centre de loisirs, repas dansant « moules-frites ». Tarif : 22 €. Réservations  au 06.71.30.68.83.

Saint-Avit. A partir de 20 h, à la salle des fêtes, soirée « truffade dansante ». Soirée : 15 €/10 € (- de 8 ans). Réservations aux 06.73.05.49.14 et 06.38.53.65.32.

Saint-Sylvestre-Bragoulin. A 19 h 30, à la salle des sports, soirée dansante et choucroute. Soirée : 16 €/12 € (- de 12 ans)/Gratuit (- de 5 ans). Réservation au 07.63.51.51.62.

« Les Panthères font leur cirque » à la Maison des Sports. Pour le seul match délocalisé de la saison, le VBC Chamalières propose une soirée spécifique, ce samedi, place des Bughes. Le point d’orgue de ce rendez-vous sera la rencontre de championnat de France de Ligue A Féminine de volley-ball entre Chamalières et Le Cannet (20 heures), mais le spectacle commencera bien en amont.

A partir de 18 h 30, un happy hour est ainsi proposé à la Maison des Sports, point de départ d’une soirée thématique autour du cirque et en musique. La Compagnie Etincelles de Cournon, cirque familial et tradi-moderne, proposera différentes facettes de ses nombreuses activités au plus près du public et avec une touche de magie. Aussi bien en extérieur qu’à l’intérieur.

Cela commencera en effet sur le parvis de la place des Bughes avec la présence de cracheur de feu. Une animation de jonglerie lumineuse accompagnera ensuite les spectateurs dans la montée des escaliers. Tissu aérien, échassiers, acrobates, jongleurs… donneront le ton dans une Maison des Sports qui accueillera également la banda de Cournon.

« C’est un match évènement et spécifique, a rappelé Mylène Toubani-Bardet lors de la présentation de cette soirée. Nous avons à coeur de représenter le sport féminin de haut niveau. Pour ce rendez-vous, le 7 mars, nous voulons associer les femmes et les mettre à l’honneur à la veille de la Journée internationale des femmes. Le 7 mars, on fait donc une dédicace toute particulière notamment en direction des étudiants ». Chaque billet étudiant payant permettra d’avoir un billet étudiante gratuit pour cette soirée (*) .

« Nous avons également invité l’ensemble des clubs sportifs du territoire de la région Auvergne - Rhône-Alpes, la Région qui a franchi un cap avec nous et est le partenaire titre de cet évènement. Nous avons sollicité tous les clubs pour permettre à leurs sections féminines de venir nous rejoindre à la Maison des Sports. J’espère qu’elles seront très nombreuses et que nous pourrons annoncer la présence de très nombreux clubs avec nous et les mettre à l’honneur le 7 mars ».

(*) Plus d’informations sur www.volley-ball-chamalieres.fr

Offre « Etudiant » : un billet étudiant payant (10 euros) = 1 billet étudiante gratuit. Entrée 10 euros ; gratuit pour les moiins de 16 ans accompagnés d’un adulte.

Sur les trois Clermontois retenus pour préparer cette rencontre, un seul figurera sur la feuille de match. Il s'agit du demi de mêlée Kévin Viallard, qui débutera la rencontre sur le banc.

Ses coéquipiers Tani Vili et Cheikh Tiberghien, qui faisaient partie du groupe élargi de 28 joueurs communiqué par le staff la semaine passée, n'ont pas été retenus.

— France Rugby (@FranceRugby) March 4, 2020

« S’occuper des gens ! » Tel est l’objectif premier des actions qu’entendent mener pendant six ans à la municipalité d’Ambert, Véronique Faucher et ses colistiers de « Demain… ensemble pour Ambert ».

La liste « des sensibilités de gauche et progressistes » annonce la couleur : « L’humain au cœur de notre projet. »

Véronique Faucher répond sans surprise : « C’est le quotidien des Ambertois, notre priorité. Leur faciliter la vie, qu’ils se sentent bien dans leur ville, tous ensemble. »

Ainsi le cadre de vie arrive en tête des préoccupations des colistiers :

« Nous prévoyons des investissements équitables entre le centre-ville et les villages. Ces travaux se feront dans le cadre d’un plan pluriannuel d’investissements établi sur deux fois trois ans. »

Cible de ces travaux, la voirie dans les villages : « Après les élections, l’adjoint en charge des villages aura pour mission de dresser un état des lieux exhaustif de la voirie et préparera un programme de travaux à effectuer. »

Les colistiers prévoient de réaliser aussi des aménagements de sécurisation, à proximité des écoles, aux carrefours dangereux… Ensuite la voirie en ville : « Trop de secteurs sont détériorés. C’est urgent de faire quelque chose. Mais avant chaque action, il faudra d’abord dresser un état des lieux afin que les travaux soient pertinents », souligne Lionel Zwenger, colistier.

« En outre, le prévisionnel a déjà été fixé par l’équipe sortante. Nous serons obligés de poursuivre ce budget-là. En revanche concernant la vidéosurveillance, nous verrons en fonction de l’engagement financier qui a été pris. Si ce n’est pas trop onéreux d’en arrêter là. Car nous, nous préférons la bienveillance à la surveillance. »

Autre point qui sera à l’ordre du jour de leurs premières décisions et qui œuvrera en faveur du cadre de vie au quotidien : un plan de déplacement doux. « Après avoir établi les besoins, nous envisageons de créer des pistes cyclables dont une pour rejoindre Villeneuve », rajoute Véronique Faucher.

Des voies pour vélos différenciées devraient être tracées sur les grands axes routiers notamment. 

L’idée est aussi de lancer des expérimentations comme la mise en place de bornes vélo en libre service. « Cela ne sert à rien d’investir si le besoin n’est pas là. C’est pourquoi, il faut d’abord esssayer ! Une aide aux devoirs pour collégiens et lycéens va aussi être expérimentée. »

Quoi qu’il en soit comme le répète David Bost, autre colistier : « Tous les sujets de notre programme sont finalement prioritaires. Tous participent au cadre de vie et contribuent au quotidien des Ambertois »

Geneviève Thivat

Une seule liste est en course pour ces municipales à Saint-Aubin-le-Monial, celle de la maire sortante Françoise Guilleminot.

Elue le 3 avril 2012 en remplacement de Guy Lecomte, démissionnaire, Françoise Guilleminot, 73 ans, brigue ainsi un troisième mandat de maire.

Une seule liste, pour ces municipales 2020 à Saint-Hilaire.

La liste du maire Olivier Guiot

Olivier Guiot, âgé de 52 ans, élu maire en mars 2001, repart pour un nouveau et quatrième mandat.

Âgé de 62 ans, retraité du notariat, le maire de Vallon-en-Sully assure ne pas avoir changé sa « façon d’être » malgré les soubresauts de la vie politique vallonnaise. « En 2014, j’ai accepté le choix des électeurs. Et je n’ai jamais considéré que j’étais propriétaire de mon poste ».

Travaux d’isolation En dix ans, l’élu a engagé des travaux importants malgré « le complexe sportif qui a coûté 3 M€ et limité nos marges de manœuvre » : contrat d’aménagement de bourg, réfection de l’école primaire, réhabilitation du bâtiment des services techniques, travaux de voirie dans les hameaux…  

L’entretien des bâtiments communaux reste un axe majeur du candidat qui compte porter une attention particulière aux travaux d’isolation de l’école primaire et de l’école maternelle, tout comme la salle polyvalente et les bâtiments de la gendarmerie autoroutière.

Tout cela doit se faire sans augmentation d’impôt. « Je veux doter les associations sportives d’un local. Mais je le construirai que si j’obtiens 70 à 80 % de subventions », prévient-il.

Mohammed Kemih veut aussi renforcer la vidéo-protection dans le bourg. « En 2018, on avait pour 18.000 € de dégâts liés au vandalisme. En 2019, c’était 0 € » ! Le recrutement de médecins et la mise en place de permanences de gendarmes figurent parmi les priorités de Mohammed Kemih.

« Un autre dossier qui me tient à cœur, c’est la maison seniors, ajoute-t-il. J’aimerais construire à côté de la maison de retraite quelques pavillons individuels avec une salle d’activité ». 

Fabrice Redon

Un avis de recherche a été lancé, ce mercredi après-midi, par les policiers de la sûreté départementale du Puy-de-Dôme, après la disparition, jugée inquiétante, de Sonia Parmentier, une habitante de Clermont-Ferrand, née le 13 mars 1972.

La quadragénaire, qui n'a plus donné de nouvelles depuis ce lundi 2 mars, est de type européen. Elle mesure 1,60 m et présente une corpulence normale. Elle a les cheveux mi-longs, bruns et grisonnants et a un piercing sur le nez, ainsi qu'un tatouage dans le cou, sous l'oreille droite.

Elle est susceptible de circuler à bord d'une Peugeot 208 gris foncé, avec des rétroviseurs chromés. L'un d'eux, cassé, est maintenu avec du scotch noir. Un "A" de jeune conductrice est apposé sur la lunette arrière.

Toutes les personnes disposant d'éléments d'information sur cette disparition sont invitées à contacter le commissariat central clermontois, au 04.63.05.22.22 ou la sûreté départementale, au 04.63.05.78.05.

Christian Lefèvre

Pour la deuxième année consécutive, les clubs Zonta et Soroptimist d’Issoire s’unissent à la Ville pour organiser une semaine de sensibilisation et d’information aux droits des femmes. Découvrez le programme.

Découvrez l’exposition Lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles réalisée par le Département du Puy-de-Dôme à travers une dizaine de panneaux thématiques. Ils seront exposés à la Halle aux grains samedi.

Une bibliographie et une sitographie mettent en valeur les travaux de femmes célèbres et connues. À consulter librement sur les horaires d’ouverture.

Retrouvez les comédiennes de la Cie Lectures à la carte, Marielle Coubaillon, Anne Gaydier et Monique Jouvancy, jeudi à la médiathèque. (Photo Madeleine Ré)

La Cie Lectures à la carte interprétera le roman Certaines n’avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka. Les trois commédiennes Marielle Coubaillon, Anne Gaydier et Monique Jouvancy racontent comment des milliers de Japonaises sont allées aux Etats-Unis rejoindre les hommes avec lesquels elles se sont mariées par correspondance, dans les années 1920. Les jeunes filles, qui rêvent d'un monde meilleur découvrent la misère, la journée aux champs, vivent la nuit de noces avec des inconnus... Et puis la guerre entre le Japon et les Etats-Unis. 

De 10 heures à 17 heures, gynécologue, assistante sociale, avocate et différentes autres intervenantes tiendront des stands d’information et de prévention à destination des femmes.

Les femmes de militaires du 28e RT d'Issoire racontent leur quotidien : « Il faut aussi construire une vie à soi » (février 2020)

Le service des archives municipales présentera son exposition – photographies, lettres, cartes de vœux – sur des femmes issoiriennes. « Ce sont des personnalités qui méritent que l’on s’y arrête », assure Marie Boyer, responsable du service. Victoire Tinayre, mère du peintre Louis Tinayre, la couturière Jane Buffaud seront notamment à l’honneur.

La photographe Hanan Abdeselam proposera un shooting-photo gratuit, samedi, à la Halle aux grains.

Cette année, la photographe Hanan Abdeselam de l'atelier Iris P & F, à Issoire, proposera un shooting-photo. Marie Curie, Simone Veil… Les participantes pourront choisir les femmes qu’elles souhaitent incarner et repartiront avec leur cliché.

Samedi, à 17 h 15, Gérard Guièze animera une conférence de philosophie Droits des femmes : une démarche d’émancipation.

À 20 h 30, projection de courts-métrages primés illustrant les droits et la place des femmes dans la société.

Lisa Douard

Une seule liste à Saint-Menoux.

Ludovic Julien, âgé de 47 ans, qui avait été élu maire en mars 2014, ne souhaitant pas se représenter, Jean-Guy Chérion, 59 ans, adjoint sortant, est candidat à sa succession, à Saint-Menoux.

Si elle a décidé de repartir, c’est avant tout pour son village de 54 habitants, situé aux portes du Sancy. « Pour qu’il continue à vivre, qu’il reste une entité à part entière », explique Nathalie Grégoire, agricultrice de 40 ans, qui souhaiterait passer la main au prochain mandat. Sa liste est composée de quatre femmes et trois hommes, dont de nouveaux visages.

La liste

Nathalie Grégoire, agricultrice, 40 ans ; Jean Arveuf, retraité, 69 ans ; Françoise Gatignol, aide ménagère, 60 ans ; Jacques Ronzier, adjoint technique, 60 ans ; Séverine Moreau, enseignante, 46 ans ; Jean De Oliveira, commerçant, 46 ans ; Anne Denet, formatrice, 41 ans.

Il n'y aura qu'une seule liste à Saint-Plaisir.

La liste du maire sortant Didier Thevenoux

Didier Thévenoux (PCF), âgé de 62 ans, élu maire en juin 2010, se représente pour un troisième mandat.

Les faits s’étaient produits l’an passé dans l’Ehpad de Dun-le-Palestel : une résidente de 91 ans avait été violée par un pensionnaire de 83 ans et la fille de la victime avait déposé plainte après avoir eu connaissance des faits quelques mois après.

Une plainte classée sans suite du fait de l’irresponsabilité pénale de l’auteur des faits. Mais les investigations se poursuivent : le procureur de la République, Bruno Sauvage, a saisi un nouveau service, la brigade de recherches départementale, afin de poursuivre l’enquête. De son côté, la fille de la victime n’entend pas se porter partie civile mais espère simplement que ces investigations « démontreront les responsabilités de chacun ».

Il n'y aura qu'un seule liste pour ces municipales à Saint-Sornin.

La liste du maire sortant Daniel Blanchet

Daniel Blanchet, âgé de 62 ans, élu maire le 19 décembre 2012 en remplacement de Gérard Petiot, démissionnaire pour raison de santé, a décidé de se représenter.

« La musique c’est tout pour moi. La première chose quand je me lève ; la dernière avant de me coucher. » Hier soir encore, c’était pour ou avec Elliott Murphy et Bertrand Belin. Jean-­Michel Planat, cinquante-sept ans. Ex­-infirmier nocturne en “réa” au CHU de Clermont. Aujourd’hui passé du côté du temps libre.

Pas un de ceux que l’on remarque pour le bruit qu’il fait ou l’espace qu’il prend. Il est pourtant omniprésent. Sur les marches du club de la Coopé par exemple, son poste préférentiel. Sa tête de raquette à lui. Bouchons d’oreilles, focus sur la scène. Il est celui dont le palmarès concerts est le plus fou. Plus que vous l’imaginez. Le meilleur de tous ? Des plus de 3.000 qu’il a vus ? Impossible de répondre.

« J’ai toujours aimé voir les artistes. Et plus ça va plus je suis curieux. Même si c’est l’indé qui depuis des années m’attire en priorité, j’ai voulu découvrir Lavoine il y a quelques semaines, je voudrais faire Souchon une fois. Je n’avais pas imaginé aller vers eux un jour. La musique ouvre l’esprit. L’âge aussi, en ce qui me concerne… (rires). Je n’écoutais pas d’électro, pas de hip hop, j’y arrive aujourd’hui ».

Quand je vous dis qu’il a vu plus de concerts que vous pouvez l’imaginer, il faut comprendre que la vie de Jean-­Michel était, et demeure, articulée autour de la musique. Dont il est un puits de culture. « Lorsque je travaillais, j’avais la chance de faire les plannings. Dans la mesure du possible, le mien suivait celui de la Coopé. Je précise que tout le monde trouvait son compte dans cette gestion, je ne faisais rien aux dépens de mes collègues (rires) ! ». Sinon ils n’auraient pas été une centaine à venir fêter “sa” retraite à… la Coopé bien sûr.

On parle de Clermont, bien sûr. Mais aussi du Transbordeur à Lyon, du Radian à Caluire, de Rennes pour les Trans’musicales, de Nîmes pour le Tinals, de Belfort pour les Eurockéennes, d’Aix-­les-Bains pour Musilac, etc. Etc. Etc.

Bref, un malade de musique. En live mais également sur support(s). Il suffit de passer deux minutes dans son appart’, quartier République à Clermont, pour constater que les vinyles sont mieux rangés que la chambre de Dexter... On ne rigole pas. En cheville avec un pote “dealer de culture”, il traque l’objet, sans répit. Il en a eu jusqu’à 3.000 également. Sans parler des “gravés” et des numériques…

Le virus ? Pas grand-­chose à voir avec celui dont tout le monde parle depuis des semaines, quoiqu’il affectionne particulièrement le breuvage mexicain… « Allez, on va en moucher une dernière ! »

Ce virus-là, c’est sa sœur qui lui a transmis : « Elle a huit ans de plus que moi. Il y avait toujours de la musique à la maison, toujours. La grande époque des Floyd, Led Zep, Genesis, ces trucs qu’elle écoutait, période hippie. King Crimson, qui a été quelque chose d’important. Puis la découverte d’AC/DC, la lecture de Best, les premières pipes à eau… Y’a prescription non… » ? Il est trop bien ce sourire !

Son premier rendez­-vous avec la chose live ? Un soir de 78 (tours...) à la Maison des sports. Genesis. « J’avais 15 ans 1/2 ». À la Coopé, il a fait l’impasse sur Les Rita, pas son truc. J’ai commencé avec Lucky Peterson, le 21 mars 2000. Le club était encore en travaux". La Coopé…, on y vient, on y revient.

« Mais ça a tout changé ! On s’est retrouvé avec une activité musicale que l’on attendait depuis des lustres. La Maison des sports et du peuple, c’était très aléatoire… D’un coup, les groupes sont venus à la maison… Jusque-­là nous allions souvent à Lyon et Paris. Nous ne prenions pas d’hôtel ! L’aller-­retour dans la journée/nuit. Pas d’autoroute ! À quatre dans une 104 coupée pour la première ou l’une des premières dates de Marillion en France ». Ça, c’était avant… 

Si Jean-Michel est une manière de phénomène ; impossible de ne pas faire un gros clin d’œil à Hubert, alias Baloo - oui comme dans Le livre de la jungle. Baloo, autre fidèle absolu de la Coopérative de Mai et membre du conseil d’administration de l’association Pop’ Art. Il est de tous les rendez-vous ou presque. Nous aurions également pu lui consacrer un portrait. Ce n’est que partie remise !

Jouera ? Jouera pas ? A un peu plus de 24 heures de la réception de Sochaux, ce vendredi (20 heures), au Montpied, le doute plane autour de la participation de l'attaquant clermontois, Adrian Grbic. Le meilleur buteur du CF63, auteur de 16 réalisations cette saison, est « très incertain » a annoncé Pascal Gastien, ce mercredi matin, en conférence de presse. « Il a pris un coup à un doigt de pied. Il n'y a rien de cassé, mais il ne s'est pas entraîné hier (mardi), ni aujourd'hui (mercredi). Tout dépendra de la douleur », a poursuivi le technicien auvergnat.

S'il devait renoncer, l'attaquant rejoindrait trois autres Auvergnats sur la liste des absents pour cette rencontre : Jérôme Phojo, dont la saison est terminée, Alassane N'Diaye, touché à une cuisse et qui devrait reprendre l'entraînement collectif la semaine prochaine, ainsi que Johan Gastien, suspendu après son carton rouge reçu à Nancy vendredi dernier.

En revanche, au rayon des bonnes nouvelles, David Gomis est apte, pour la réception des Sochaliens. Touché à une cuisse lors du déplacement à Auxerre, l'ancien joueur du Gazélec Ajaccio s'est entraîné normalement avec ses coéquipiers cette semaine.

« Je ne pense pas qu'il débutera le match, a indiqué Pascal Gastien. Avant de poursuivre. Après, est-ce qu'on le mettra dans le groupe vendredi ? Est-ce qu'on le fera jouer à Montluçon avec la réserve pour qu'il ait un match complet ? Sincèrement, je ne sais pas encore. Et puis, ça dépendra aussi de l'évolution de la blessure d'Adrian Grbic. »

Robert Bally, âgé de 79 ans, qui avait été élu maire en mars 2001, ne se représente pas.Rémy Guilleminot, adjoint sortant, et Claude Beaune, conseiller sortant, sont candidats à sa succession.