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François Blanchon a présenté sa liste pour les municipales à Charensat (Puy-de-Dôme)

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La liste «Unissons-nous pour demain», menée par François Blanchon, maire sortant, est composée de sept conseillers sortants et complétée par huit nouveaux candidats « très attachés à Charensat de par leurs engagements dans le monde associatif ou dans la société civile. Ils travailleront dans l’intérêt de tous en utilisant au mieux les ressources et le patrimoine important dont la commune dispose ».La liste. François Blanchon, 66 ans, retraité contrôleur de travaux publics état ; Chantal Bacconnet, 63 ans, sans profession, adjointe sortante ; Thierry Barrière, 55 ans, agriculteur, adjoint sortant ; Edith Benard-Serrurier, 59 ans, directrice associée comptable, membre CCAS ; Nathalie Buisson, 51 ans, secrétaire ; Michèle Duboisset, 64 ans, retraitée agricole, conseillère sortante ; Eric Cloarec, 57 ans, agriculteur, adjoint sortant ; Yvan Cuny, 35 ans, ouvrier ; Marinette Dos Santos-Bromont, 41 ans, assistante maternelle ; Bernadette Gourson, 61 ans, retraitée notariat ;Stéphane Grandsaigne, 39 ans, responsable d’atelier ; Claude Martin, 63 ans, retraité fonction publique ; Jean-Michel Mourdon, 48 ans retraité agricole, conseiller sortant ; Robert Pouchol, 74 ans, retraité agricole, conseiller sortant ; Jean-Claude Sénetaire, 70 ans, retraité bureau d’études, adjoint sortant.


En pleine nuit, un véhicule percute la vitrine de l'agence Manpower, boulevard Carnot, à Montluçon

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Vers 3 h 15, dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 mars, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule et a percuté la vitrine de l'agence Manpower, située boulevard Carnot, à Montluçon. 

Sous l'empire d'un état alcoolique

Selon les premiers éléments, le conducteur aurait été sous l'empire d'un état alcoolique. Il a été interpellé, sur place, peu après les faits, par les services de police de Montluçon et placé en garde à vue.

Si les dégâts sont impressionnants, vitrine brisée et façade du bâtiment en partie arrachée, ils ne sont que matériels. « C'est embêtant pour notre activité, c'est sûr », explique un des conseillers de l'agence. « Mais heureusement, il était tard et il n'y avait personne à ce moment-là. Il n'y a donc pas eu d'autres dégâts, ni aucun vol commis. »

L'agence a déposé plainte.

Laura Morel

Pro D2 : la rencontre Aurillac - Colomiers est fixée

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Aurillac accueillera Colomiers le vendredi 27 mars, à 20 heures, au stade Jean-Alric.

— Rugby PRO D2 (@rugbyprod2) March 4, 2020

Après les municipales, qui pour succéder à Jean-Paul Bacquet à la tête de l'Agglo Pays d'Issoire ?

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À Issoire, le maire sortant LR, Bertrand Barraud, également premier vice-président de l’Agglo, a d’ores et déjà annoncé qu’en l’absence de Jean-Paul Bacquet, il se présenterait à l’élection pour la présidence de l’Agglo Pays d’Issoire.

Egalement candidats, Laurent Pradier et Mohammed Rkina sont sur la même longueur d’onde, tandis qu’à gauche, Philippe Laville n’en fait pas une priorité et se dit prêt à soutenir un candidat qui porterait les valeurs du collectif qu’il représente. Pour l’élection, le maire d’Issoire pourra compter sur 22 autres délégués de sa ville, sur les 121 que compte l’Api. Important mais loin d’être suffisant pour être sûr de l’emporter.

D’autant qu’en face, nombre d’élus ne voient pas cette éventualité d’un très bon œil.

« Nous avons un territoire particulier, avec beaucoup de petites communes, et cela ne nous semble pas une bonne idée de mettre toutes les cartes entre les mêmes mains. »

Pour le vice-président aux finances, « la place du maire d’Issoire est comme premier vice-président de l’Agglo Pays d’Issoire car la ville reste le poumon et la dynamique du territoire ».

Avec plusieurs autres vice-présidents, parmi lesquels Roger Jean Méallet, Pierre Ravel et Vincent Challet, tous élus de gauche (quand Bertrand Barraud est à droite), une réflexion collective a été engagée, et un candidat à la présidence devrait sans doute émerger de ces échanges. Mais Jean-Pierre Sauvant l’assure, « ce n’est pas une question de personnes ou d’étiquette politique ».

Maxime Escot

Le gérant d'une société de vente de véhicules d'occasion condamné à Tulle (Corrèze)

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Le gérant d’une société spécialisée dans la vente de voitures d’occasion a été condamné hier mardi, par le tribunal correctionnel de Tulle, pour n’avoir pu justifier d’un registre de police conforme.

Le 28 juin 2018, un contrôle du comité opérationnel départemental anti-fraude est effectué sur le site de vente tulliste de cette société, par ailleurs implantée en Corrèze à Brive-la-Gaillarde et à Varetz. Problème, l’étude du registre de police, où doivent être portées toutes les informations de rentrées et sorties de voitures, révèle « des incohérences » et des « manquements » : absence d'inscriptions de véhicules, doublons, immatriculations inconnues...

Une mauvaise manipulation informatique, assure le prévenu

A la barre, le prévenu de 39 ans, forte stature et ton assuré, avance sans ciller : « Nous étions en pleine migration de données entre deux logiciels. Les éléments qui ont été extraits en mon absence étaient les données brutes, mais pas le registre de police. »Réponse, un tantinet incrédule, de la présidente d’audience : « Vous aviez d’abord évoqué un “bug” durant la procédure. Donc si je comprends bien, c’est un mauvais document que les enquêteurs ont extrait… » Le gérant et son conseil proposent de donner au tribunal le vrai registre. « Il est daté ? Signé ? », s’enquiert la magistrate. Il n’en est rien.

Déjà condamné pour des faits similaires

« Ça fait dix ans que je vends des voitures, j’ai déjà eu quatre ou cinq contrôles similaires et je n’ai jamais eu de problème », se défend le prévenu, qui fait par ailleurs l’objet d’un dossier d’instruction. « Vous avez aussi été condamné en 2012 pour des faits similaires », relève froidement le tribunal.Le procureur de la République, un peu excédé par les explications du prévenu, coupe court : « Vous êtes responsable, vous êtes dans l’obligation de présenter un registre complet et tenu. Là, ce n’est pas le cas. » Retenant la culpabilité du mis en cause, le tribunal l’a condamné à 50 jours amende à 100 €.

Julien Bachellerie

Carton plein pour le Lycée Louis Mallet de Saint-Flour au Salon de l'agriculture

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Comme si le premier prix du Trophée National des lycées agricoles dans une catégorie ne suffisait plus, l’EPL des Hautes Terres a remporté dimanche le prix Super champion. Après ses dix podiums dans la catégorie « vaches allaitantes » en douze participations, les lycéens se distinguent, une fois encore, parmi 300 élèves réunis pour l’occasion.

Pour cette édition, ils raflent littéralement la mise avec « cette première victoire toutes catégories confondues », souligne Jean-François Besson, directeur de l’établissement.

Super champion. Les élèves du lycée à la première place du podium. Photo Frédéric SeragerChaque année, 8 élèves de première sont sélectionnés selon leurs résultats et leurs motivations pour y participer. En décembre, l’entraînement a commencé pour les heureux élus. « Chaque mercredi après-midi était consacré à la préparation des épreuves, ce qui crée une véritable émulation au sein de l’EPL », se réjouit le proviseur.

Mais ces performances sont aussi possibles grâce à l’investissement des professeurs. « Un véritable esprit d’équipe se développe pendant toute la période », et cette unicité paye.

Ce prix de super champion a aussi une saveur toute particulière, « souvent ce sont des élèves de BTS qui remportent ce prix ». Les élèves sanflorains peuvent donc se féliciter de leur prestation, seul critère pris en compte dans ce concours.

Entrée sur le ring pour le TLNA. Photo Frédéric Serager

Doublé du prix de la meilleure affiche

Les élèves remportent aussi le prix de la meilleure affiche, cette année consacrée au lien entre agriculteurs et consommateurs sur le thème : « l’agriculture vous tend les bras ».

Des récompenses en or, fruits d’un travail passionné. Une belle vitrine pour le lycée agricole en vue des portes ouvertes de l’établissement, le 14 mars prochain. 

Mazirat (Allier) : la liste « Tous ensemble pour Mazirat » dévoilée

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La liste « Tous ensemble pour Mazirat » est la seule liste complète pour les prochaines élections. Mais elle n’a pas encore de tête de liste officielle.

« Nous devons d’abord être élus, ensuite nous déciderons », souligne Magalie Jarraud, adjointe sortante.

Trois personnes à l'origine de la liste

À l’origine de ce groupe, trois habitants de Mazirat : Jean-Michel Jacquinet, Pierre Moreau et Magalie Jarraud.

« Nous avons formé un groupe de femmes et d’hommes, d’âges, de compétences et d’horizons divers », assure cette dernière. « Des personnes qui veulent s’investir pour Mazirat et qui aiment leur commune. Au niveau des projets, nous ne voulons pas faire de plans sur la comète, tant que nous n’avons pas voté de budget. »

La liste : 

Pierre Moreau, retraité ; Anne-Claire Vercasson, employée commerciale ; Steve Trommenschlager, ouvrier qualifié ; Julien Enard, agriculteur ; Magalie Jarraud, secrétaire comptable ; Anny Carmans, retraité ; Joël Servant, agriculteur ; Angélique Fournier, infirmière ; Didier Verstraete, retraité ; Jean-Michel Jacquinet, agriculteur ; Margot Huart, sans profession.

Laura Morel

À Mazirat (Allier), Jean-Marc Michaud se présente seul aux élections municipales

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Jean-Marc Michaud, 60 ans, retraité, sera candidat à Mazirat lors des prochaines élections municipales.

Il se présente seul face à la liste « Tous ensemble pour Mazirat ».

Afficher son opposition

Il explique : « Au départ, il devait y avoir deux listes complètes à Mazirat. Mais finalement, je me retrouve tout seul ». Malgré tout, il a choisi de continuer. 

« Je me présente pour dire que je ne suis pas d’accord avec ce qui se fait actuellement par la municipalité. Et la liste face à moi sera dans cette continuité… »

Parmi ses volontés pour la commune : « Avant tout sauvegarder l'école qui est le poumon de la commune. Il y a des choses à faire au niveau de la voirie également. »

Laura Morel


Bernard Werber : « Je suis en train de réfléchir à mon prochain roman, et je vais trouver l’idée dans le train pour Vichy »

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Que vous inspire ce monde qui tremble devant une épidémie ?

J’avais déjà annoncé dans mon roman qui s’appelle Troisième humanité la façon dont ça allait se passer. J’avais aussi repris cette histoire dans Demain les chats. Ça démarre par un retour de la peste, qui progressivement s’étendrait à la civilisation. Ça fait longtemps que je me pose des questions là-dessus. Depuis la première fois où on a parlé de la peste, on trouve ça dans les textes grecs, toutes les générations ont eu une épidémie qui a ravagé les populations. Nous quelque part, on était la première génération épargnée depuis l’épidémie de grippe espagnole de 1918. On a connu un répit extraordinaire. Donc, en toute logique, ça ne peut pas durer éternellement. Je ne suis pas très inquiet par cette épidémie-ci, par rapport aux informations que j’ai à mon niveau de simple citoyen. En revanche, ce que je trouve intéressant, c’est qu’on en train de se préparer pour la suivante.

Selon vous, ce serait donc inéluctable ?

Je dis simplement que, si on regarde l’histoire de l’humanité, les épidémies sont cycliques. C’est comme une sorte de “purge”. Je ne crois que celle-ci, telle qu’elle se présente, soit réellement une grande purge, ce sera probablement la suivante.

Les grands maux de l'humanité seraient donc les remèdes de la nature ?

Oui. C’est affreux de dire ça, mais toutes les espèces s’autorégulent, sauf l’être humain. Avant, les êtres humains avaient des prédateurs, comme les animaux sauvages. Petit à petit, l’Homme est arrivé à dominer tous ses prédateurs. Aujourd’hui, le seul prédateur de l’Homme, c’est l’Homme. Et comme il n’a pas fait de guerre récemment, la nature s’en occupe autrement. Ce sont des équilibres d’écosystèmes qui vont au-delà de la politique, de l’économie.Notre planète n’en a rien à foutre de la bourse, ni des problèmes de religion. Elle voit juste qu’il y a une espèce en croissance exponentielle et que tien n’arrête. Je vous dis cela d’un oeil extérieur, en tant qu’humain je me sens concerné (rires).

Les oeuvres littéraires autobiographiques sont légion. Vous, vous n'avez jamais cessé de placer l'imaginaire au coeur de votre oeuvre. Pourquoi ?

Si ces auteurs ne parlent que d’eux, c’est peut-être qu’ils ne savent pas imaginer autre chose qu’eux-mêmes. A l’école, j’étais celui qui raconte des histoires, et maintenant que je suis grand, je suis celui qui raconte des histoires. Quand j’étais petit, mon père me parlait de la mythologie grecque. J’ai adoré ça, et à partir de là j’ai commencé à avoir envie d’inventer mes propres récits. C’est quelque chose que j’ai depuis ma naissance, et j’ai l’immense chance d’avoir pu en faire mon métier. J’aime raconter des histoires, et qu’on m’en raconte. Je considère que les histoires, c’est un moyen de soigner le monde, une manière d’élargir les horizons, de rendre les gens plus ouverts. Je crois beaucoup au pouvoir des bonnes histoires. Souvent, des auteurs qui font des autobiographies, c’est parce qu’ils savent écrire mais qu’ils n’ont pas d’idées.

Votre imagination est d’une rare fertilité, mais vous n’êtes pas un rêveur pour autant. Vous vous imposez une discipline de fer…

Depuis l’âge de 16 ans, j’ai pu établir cette règle de 4 h 30 d’écriture tous les matins, de 8 heures à 12 h 30. C’est une règle qui m’a été inspirée par Frédéric Dard. J’ai toujours cru que la régularité était une manière de se forger un muscle. La créativité et l’imagination sont des muscles qui s’entretiennent, qui se développent. Qu’on ai du talent ou pas, si on le fait régulièrement, on sait comment être efficace et comment trouver le ton juste. Si tous les jours je faisais de la musique, je serais doué en musique. Là je n’ai plus besoin de technique, je vais directement à l’émotion.

Cela signifie donc que le talent littéraire n'est pas inné selon vous ? C'est ce que vous transmettez dans les Masterclass que vous donnez ?

On peut avoir une propension naturelle, une sorte d’aisance dans ce domaine, mais si on ne le travaille pas, on le perd. On peut avoir une propension naturelle très faible, mais si on la travaille, on la développe. Oui, je crois que tout le monde est capable d’écrire une bonne histoire. Ce qui retient souvent les gens, c’est la peur du jugement des autres, et dans mes masterclass, j’essaie justement de leur faire desserrer le frein à main de cette peur, pour leur faire trouver la joie de créer dans l’amusement. Moi, quand j’ai écris, je m’amuse. Je serais sur une île déserte, sans éditeur et sans lecteurs, j’écrirais parce que c’est une fonction naturelle naturelle de mon cerveau,

Vous êtes l’un des auteurs français les plus vendus dans le monde, mais vous restez très proche de vos lecteurs. Pourquoi est-ce nécessaire ?

Déjà, savoir pour qui j’écris. Qui se sont donné non seulement le mal de lire mon livre, mais aussi de venir me voir, c’est quelque part de la famille. Je sais à qui je dois d’être celui que je suis devenu, je le dois à mes lecteurs. Ces auteurs qui sont déconnectés de leurs lecteurs ratent quelque chose. Moi j’ai besoin de les voir. Même si c’est le temps d’une dédicace, le seul fait de les voir dans les yeux, c’est intéressant. Le seul avantage de notre époque, c’est qu’on peut avoir un feed-back beaucoup plus rapidement.

Vous suivez beaucoup les réseaux sociaux ?

Oui, et quand les critiques me semblent intéressantes, j’en tiens compte. Si des lecteurs me signalent des erreurs dans mes livres, je les fais corriger. J’estime qu’il y a une sorte de connexion entre moi et mes lecteurs, que j’essaie d’entretenir via mon site, Facebook, Instagram, Twitter. j’essaie vraiment de rester connecter à ma famille de lecteurs. Elle est large, mais fidèle. Ça fait bientôt 30 ans que sont sorties Les Fourmis, et bientôt 30 ans que je fais le métier qui me plaît le plus, et dans lequel j’ai l’impression d’être légitime.

Les adaptations de séries littéraires de science-fiction, comme The Witcher, rencontrent un grand succès sur les plateformes de streaming. A quand une adpatation de vos romans ?

Ce n’est pas moi qui décide, mais les producteurs. Il y a beaucoup de gens qui m’ont contacté, mais le seul fait que ça soit dans le domaine de l’imaginaire fait que, souvent, en France, on manque de repères.

En France, on sait bien faire les comédies sociales, les comédies dramatiques, les enquêtes policières, mais dès qu’il commence à y avoir des effets spéciaux, on a l’impression que ça ne fait pas partie de notre culture. Donc c’est plutôt la frilosité des producteurs français qui empêche d’adapter mon œuvre. Et maintenant je commence à me faire à l’idée que ce sera de manière posthume que je passerai à l’image.

Parce que rien n’est prêt pour ça en France. Les producteurs et les chaînes ne se donnent pas les moyens, en pensait que c’est cher et que c’est compliqué. Du coup, ils font simple et pas cher. Moi j’ai une formation de scénariste, j’ai réalisé mon propre film (Nos amis les Terriens, ndlr), donc évidemment le cinéma c’est un gros enjeu.

Maintenant, je ne suis peut-être pas né dans le bon pays, à la bonne époque. Où peut-être suis-je né trop tôt, Il suffit de regarder la place de la science-fiction et du fantastique dans la littérature, et on comprend que c’est un combat à mener, qu’on commence à peine.

A propos de cinéma justement, et du récent fiasco des César. Vous n'avez jamais caché votre aversion pour les prix et les critiques littéraires.

Je trouve que c’est dommage pour les lecteurs que tous les prix aillent vers des livres autobiographiques nombrilistes, et qu’on laisse de côté tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à des grands récits d’évasion. Du coup, le lecteur pourrait se dire qu’il doit aller chercher cette littérature aux États-Unis, ce qui serait vraiment un comble au pays de Jules Verne, de Rabelais, de Barjavel et de Pierre Boule. C’est comme si on avait décidé que la littérature de l’imaginaire, c’était une littérature de deuxième ordre. Ce sont des gens sans curiosité, qui fonctionnent par un système de copinage.

Vos romans sont synonymes d’évasion. L’Auvergne, est-ce un territoire d’évasion selon vous ?

Pour moi, l’Auvergne, c’est associé à une copine, Cécile Coulon. Pour moi, c’est une des dernières poètes. Elle est dans un art complémentaire du mien. Et c’est elle, chaque fois, qui me fait courir entre les volcans, et qui me parle de fromages (rires). Clermont-Ferrand, c’est le seul endroit que je connais, et maintenant c’est mon contact là-bas. En tout cas, je suis en train de réfléchir à mon prochain roman, et je vais trouver l’idée dans le train pour Vichy.

Matthieu Perrinaud

Le programmeVendredi 6 mars. À 19 heures. Dominique Sigaud, grande reportrice, essayiste, auteure de La Malédiction d’être fille (Albin Michel). À 21 heures. Bernard Werber vient de publier Sa Majesté des chats (Albin Michel).Samedi 7 mars. À 15 heures. Abdennour Bidar, philosophe, spécialiste des évolutions actuelles de l’islam et des mutations spirituelles contemporaines. Il vient de traduire Reconstruire la pensée religieuse de l’islam de Mohamed Iqbal (Gallimard). À 16 h 30. Jacques Drillon 54e Prix Valery-Larbaud pour Cadence, essai autobiographique (Gallimard). À 18 heures. Marek Halter auteur de Pourquoi les Juifs ? (Michel Lafon).Dimanche 8 mars. À 14 h 30. Jérôme Fourquet, politologue auteur de L’Archipel français (Le Seuil). À 17 heures. Patrick Pelloux, médecin urgentiste auteur de Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux (Robert Laffont).Infos pratiques. Tous les rendez-vous ont lieu au Palais des congrès. Entrée libre et gratuite. En partenariat avec les librairies A la Page et Carnot qui accueilleront les auteurs pour des séances de dédicaces, sur leur stand.

 

Municipales : à Commentry, le duel entre la gauche et la droite sera sans appel

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Les Commentryens ont deux certitudes avant les élections municipales : leur maire sera connu dès le soir du 15 mars et il ne sera pas socialiste. Après la débandade de Bernard Lesterlin en 2014, le Parti socialiste n’a pas été en mesure de présenter une liste dans cette ville symbolique, qui a connu le premier maire socialiste au monde.

Il n'y aura qu'un tour

Les électeurs auront le choix entre le maire sortant Fernand Spaccaferri (UDI), qui avait succédé en 2017 à Claude Riboulet, et Sylvain Bourdier (DVG), déjà tête de liste en 2014.

En troisième position sur la liste de la majorité sortante, Claude Riboulet, président du conseil départemental, a averti son camp lors d’un meeting le 31 janvier : « Il n’y aura pas de second tour le 22 mars, alors il faudra que tout le monde aille voter le 15. En 2001 (quand la droite avait ravi la cité ouvrière, NDLR), ça s’est joué à vingt-quatre voix. »

Les bons scrutins intermédiaires de Sylvain Bourdier

Si la droite met en avant son bilan – en affirmant avoir tenu 95 % de ses promesses formulées en 2014 –, Sylvain Bourdier retient sa bonne dynamique électorale. Candidat de la France insoumise pour les législatives en 2017, il était arrivé en tête dans tous les bureaux de Commentry au premier tour.

Guillaume Bellavoine

Les chiffres de 2014. Quatre listes étaient présentes au premier tour des municipales en 2014. Au second tour, Claude Riboulet (UDI) l’avait emporté face à Sylvain Bourdier (DVG), avec 58,11 % des voix

 

Quelles sont les propositions de la liste de Catherine Amalric pour Aurillac ?

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Catherine Amalric conduira la liste « Aurillac avec bon sens » qui offre, selon sa chef de file, « le choix d’un projet ouvert et constructif, loin des clivages traditionnels qui n’ont plus lieu d’être ». Son équipe s’engage à agir « pour qu’Aurillac fasse la différence parmi les villes de même taille, afin de donner envie d’y venir, d’y vivre et d’y rester ».

Une ville active et innovante

« Le but est d’accompagner sur le long terme, l’installation de toutes activités professionnelles, commerciales, artisanales et libérales dans le bâti déjà existant et inoccupé des zones dévitalisées, et de soutenir les activités déjà installées », préconise Catherine Amalric, chef de file de la liste « Aurillac avec bon sens ».« La cohérence économique dans et entre les quartiers sera assurée par la Ville en lien avec les chambres consulaires, afin de répondre au mieux aux besoins des habitants en proximité. Ce sera la priorité de notre projet « Cœur de Ville ». Les locaux, achetés ou loués, et remis en état par la Ville pourront être loués aux porteurs de projet. Notre ville se distinguera au plan de l’innovation : soutien des nouvelles énergies, l’hydrogène en particulier, et l’intelligence artificielle, (transport autonome, santé, maintien à domicile, cybersécurité pour les entreprises), toutes innovations créatrices d’emplois.»

« L’habitat rénové avec qualité, la lumière et la végétation partout invitées, les îlots et les rues revivront. C’est dans l’Aurillac médiéval que nous ferons toute leur place à nos savoir-faire d’excellence. En décembre, période d’activité commerciale, nous organiserons les fêtes du feu et de la lumière, le feu du volcan et la lumière du savant Gerbert. »

Une ville qui protège son environnement et ses habitants

 « L’écologie est un principe systématiquement intégré à nos réflexions et projets. Nous déclinons une écologie positive, qui ne laisse personne de côté, quels que soient ses moyens. Nous engagerons des économies d’énergie, éclairage urbain, isolation thermique, récupération d’eau pluviale et prime communale de soutien. Nous prévoyons la végétalisation des bâtiments communaux, des places, des rues, une forestation urbaine avec des écosystèmes adaptés (rafraîchissement, dépollution). »« Nous développerons la culture en circuits courts de légumes bio et, parce que nous refusons une alimentation à deux vitesses nous en faciliterons l’accès à tous, en restauration collective et individuelle, grâce à une monnaie locale (redistribution de pouvoir d’achat). Un centre de ressources et d’éducation populaire au développement durable réunira l’ensemble des acteurs concernés, pour informer sur les données scientifiques et accompagner vers les savoirs et les savoir-faire favorables à la protection de l’environnement. »

Une Ville belle et accessible

« Nous instaurerons un plan communal de déplacement avec dès le départ un double objectif : favoriser le stationnement en entrée de ville et fluidifier la circulation urbaine. Nous créerons deux nouveaux parkings relais, gratuits, un en entrée nord, sur la friche EDF, un en entrée ouest sur la zone d’Esban pour les arrivants de la Châtaigneraie. De ce parking partira la première navette à hydrogène, gratuite, qui rejoindra par le nouveau contournement, le parking relais Georges-Pompidou, pour les arrivants de la vallée de la Cère, et regagnera le pôle intermodal de la gare. Tout en apportant une facilité de stationnement et d’acheminement jusqu’en ville, cela diminuera les embouteillages et la pollution qui en résulte. »« Pour fluidifier encore les déplacements urbains, le plan communal redéfinira, en concertation avec les habitants, des liaisons simplifiées, intégrant des voies de mobilité douce continues et sécurisées entre tous les quartiers. Notre priorité est que chacun puisse se rendre facilement, quel que soit son mode de déplacement, au plus près des commerces et services, en tous lieux, jusqu’au cœur de notre ville. Nous prévoyons la gratuité du stationnement le samedi, pour permettre au plus grand nombre de venir profiter de l’activité commerciale. »

Une ville sereine et rassurante

« Nous créerons un service de la tranquillité urbaine, en regroupant des moyens de médiation, de prévention, les moyens de police municipale et certains services techniques (voirie et espaces verts). Seront mis en place des parcours de la tranquillité publique, selon la sensibilité des lieux et rues, en journée et soirée, pour organiser une présence déambulatoire d’équipes de la tranquillité et d’îlotage pédestre. Nous réaménagerons les lieux de promenade et de repos pour retrouver agrément et sécurité. »« Notre objectif premier est d’assurer à nos concitoyens, en tous lieux de la ville, la présence de nos équipes de la tranquillité, avec moins d’heures passées à la surveillance du stationnement payant, et plus d’heures consacrées à la tranquillité des passants et des habitants, ainsi qu’au respect de la propreté urbaine. Nous faisons de cette présence en îlotage pédestre une priorité pour un environnement serein, partagé par tous selon les mêmes devoirs et les mêmes droits. En partenariat étroit avec les acteurs économiques concernés, les moyens de médiation et de prévention seront particulièrement mobilisés auprès des jeunes, afin de favoriser notamment le bon déroulement des soirées festives. »

Une ville qui accompagne ses habitants dans leurs besoins quotidiens

 « Avec plus d’humain au service de l’humain, nous voulons lutter contre l’isolement dans la vie quotidienne. Pour accompagner chacun dans sa recherche de réponses, nous créerons trois guichets de proximité (Aurillac nord, centre-ville et Aurillac sud), en lien avec les centres sociaux et les conseils de quartier. Parce que l’accès à l’information est une des premières causes d’inégalité sociale, un personnel formé apportera toute l’information sur ce qu’offre Aurillac, en services, compétences et ressources, publics et privés, quel que soit le domaine (santé et soins, petite enfance, vie scolaire, services, transports, vie quotidienne, bien-traitance et protection des animaux…) »« Ces guichets recueilleront aussi les observations et suggestions des habitants sur la vie communale, pour permettre à la municipalité d’en tenir compte en amont de ses décisions. Ils seront aussi reliés à une plateforme pour réaliser les démarches administratives. Parce que la dématérialisation est un facteur d’exclusion, des médiateurs se déplaceront auprès de ceux qui en auront besoin. Nous donnerons accès, sans coût pour la collectivité, à une mutuelle santé négociée. Nous soutiendrons les emplois municipaux et du CCAS (Ehpad) en offrant notamment de nouvelles possibilités d’évolution professionnelle. »

Pierre Raynaud

Le PAL Run prépare sa deuxième édition avec plus de 2.000 coureurs attendus

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Courir au milieu des animaux et des attractions, c’est le principe du « PAL Run ». Une manifestation portée par deux amis d’enfance, les Yzeuriens Antoine Chiaramonti et Gaëtan Fetaud. Et après un gros succès populaire en 2019 (2.700 participants !), l’épreuve revient le mois prochain.

Les deux parcours reconduits

« C’est la plus grosse course de l’Allier, rappelle Antoine Chiaramonti. Pour la deuxième édition, on a actuellement un peu plus de 2.000 inscrits au total. Et on a encore de la place sur les deux parcours. »

Sur ces deux parcours (10 et 21,1 km), 7 kilomètres se dérouleront, comme l’an dernier, dans l’enceinte du parc, traversé de long en large. L’entrée dans le parc se fera 3 km après le départ de la course, situé sur le parking des bus. Les plus courageux termineront le semi­-marathon en dehors du PAL, sur les communes de Thiel, Dompierre et Saint-­Pourçain. Les départs seront donnés à 8 heures.

Plus d’animations sur les parcours

Parmi les nouveautés, des animations supplémentaires (DJ ambulant, fanfare, artistes…) sont prévues, en particulier sur le semi-marathon. « On veut que ce soit une fête, qu’il y ait de la musique, et que les gens passent un bon moment. »

1 € reversé par coureur à la Fondation le PAL Nature 

Autres nouveautés : des médailles en bois, made in France, seront remises à tous les participants ; et 1 € par coureur sera reversé à la Fondation le PAL Nature.

Un plateau de qualité

Côté sportif enfin, c’est, à nouveau, un gros plateau qui est annoncé par les organisateurs. Avec, par exemple, Marco Sanza, champion d’Andorre du semi-marathon. Et des têtes connues en Auvergne : le recordman d’Allier du marathon Florian Millien ; l’Éthiopien du Clermont athlé Masha Hailé (vainqueur de la première édition) ; ou encore le Montluçonnais Gaël Geffroy, tout récent recordman de France du 1.500 mètres en sport adapté.

Et aussi…Avant le jour J, un salon du running sera organisé place d’Allier, à Moulins, les vendredi 10 (de 14 à 19 heures) et samedi 11 avril (de 10 à 18 heures). Une quinzaine de stands, dédiés notamment au monde de la course à pied, seront installés, ainsi que diverses animations. Et les inscrits pourront retirer leur dossard.PratiqueInfos et inscriptions sur le site Internet www.lepalrun.com ou au 06.31.24.98.99.TarifsSans l’entrée au parc : 20 € pour faire le 10 km ; et 25 € pour le semi-marathon.

Kevin Lastique

Incendie dans un immeuble du centre-ville à Brive : la piste d'un acte volontaire privilégiée

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Vers 22 heures, un incendie s'est déclaré dans la cave d'un immeuble de trois étages, situé sur la place Charles-de-Gaulle près de la collégiale, à Brive. Une pièce au sous-sol de la boulangerie La mie caline a été détruite par les flammes, mais l'incendie ne s'est pas propagé grâce à l'intervention de seize sapeurs-pompiers. Seules les fumées se sont propagées dans les parties communes. Il n'y a pas eu de blessé. 

Six personnes relogées dans la nuit

« Nous étions en train de faire cuire un gâteau quand nous avons senti de la fumée. Puis rapidement, les policiers sont venus frapper à notre porte pour nous évacuer », explique Guillaume, 26 ans, qui vit avec sa compagne dans un appartement sous les combles. Le couple, qui a passé la nuit chez des amis, a pu retrouver son appartement ce mercredi dans la matinée. Six personnes au total, ont été relogées par la municipalité.  

La piste de l'incendie volontaire privilégiée

Ce mercredi 4 mars, expert et police scientifique se sont rendus sur les lieux du sinistre pour prélever les indices. Pour Stéphanie Dorio, la gérante (avec son mari) de La Mie Caline, la piste de l'incendie volontaire ne fait pas de doute.

« Le vestiaire a été fouillé et une grille à l'extérieur a été soulevée. On a constaté ce matin des traces de pénétration par effraction dans la boulangerie », explique la gérante de l'établissement, obligée d'avoir recours au chômage technique pour ses six salariés pour une durée encore indéterminée. « Avec mon mari et moi, cela fait huit personnes qui se retrouvent sans travail. »

Le magasin voisin, le Carré blanc, était également fermé ce mercredi, après avoir subi des dégâts des eaux, conséquence de l'intervention des sapeurs-pompiers. Une enquête a été ouverte par le commissariat de Brive.

Pierre Vignaud

Une seule liste, celle du maire sortant Jean-Pierre Barathon à Louroux-Bourbonnais (Allier)

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Il n'y aura qu'une liste pour ces municipales à Louroux-Bourbonnais où Jean-Pierre Barathon, âgé de 66 ans, élu maire en mars 2014, se représente devant les électeurs le 15 mars prochain.

Il repart pour un deuxième mandat mais il a prévenu : il ne compte pas aller jusqu’au bout.

Agen - ASM : votre carnet de notes

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Vous aviez été sévères lors de la précédente rencontre. La large défaite à domicile contre l'UBB avait été sanctionnée par une moyenne globale de 3,86. Votre quatrième plus mauvais bilan de la saison. Cette semaine vos notes ont très nettement progressé. Mais elles restent dans la moyenne des matchs de cette saison puisque cet Agen-ASM n'est que le 12e bilan. Les joueurs clermontois ont ramené leur premier point de bonus offensif de la saison en inscrivant 5 essais. Peceli Yato, qui est allé deux fois à dame, a obtenu la meilleure note cette semaine avec un joli 7,02. dans l'ensemble, vous avez choisi de récompenser le pack. Hormis Yohan Beheregaray, tous les joueurs de devant ont obtenu la moyenne. Derrière, c'est un peu plus délicat avec des cotations plutôt basses. Tim Nanai Williams a ainsi obtenu la plus mauvaise note avec un 3,52. Camille Lopez n'est pas loin derrière avec un 3,59.

 

Les notes :

Etienne Falgoux : 5,52 Yohan Beheregaray : 4,28 Rabah Slimani : 5,82 Paul Jedrasiak : 5,4  Sitaleki Timani : 6,2 Alexandre Fischer : 5,17 Alexandre Lapandry : 6,65 Peceli Yato : 7,07 (la meilleure note de ce match) Greig Laidlaw : 6,78 Camille Lopez : 3,59 Nick Abendanon : 4,52  Wesley Fofana : 4,01 George Moala : 6,79  Tim Nanai Williams : 3,52 (la plus mauvaise note de ce match) Cheikh Tiberghien : 6,02

 

Note globale : 5,42 (12e bilan de la saison)


Un décret pour encadrer les prix des gels hydroalcooliques, Joe Biden revient en force... les 5 infos du Midi pile

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Coronavirus : les prix des gels hydroalcooliques seront encadrés par décret

Un décret va être pris, ce mercredi, pour encadrer les prix des gels hydroalcooliques après des "cas isolés" de "prix inacceptables" sur fond de crise du coronavirus, a déclaré le ministre de l'Économie Bruno Le Maire. "Je vous annonce que nous prendrons aujourd'hui le décret d'encadrement des prix des gels hydroalcooliques", a dit le ministre sur BFM Business.

"Il y a un manque de disponibilité des produits", a reconnu Bruno. Le Maire en ajoutant que lorsque c'est possible, "se laver les mains avec du savon est tout aussi efficace". "Il y a des cas isolés où des prix inacceptables ont été pratiqués", a-t-il ajouté.

Le ministre avait annoncé mardi le lancement d'une enquête par la Direction générale des fraudes (DGCCRF) sur les fortes augmentations des prix de vente des gels hydroalcooliques et des masques de protection constatées depuis l'apparition de l'épidémie de coronavirus en France.

Par ailleurs, les masques chirurgicaux sont délivrés désormais uniquement aux patients sur prescription médicale.

Retraites : les motions de censure rejetées, le projet de réforme adopté par l'Assemblée

Sans surprise, l'Assemblée a rejeté mardi soir les motions de censure de droite comme de gauche opposées à Édouard Philippe et son recours au 49-3 pour faire passer la réforme des retraites, adoptée de facto en première lecture. La motion de LR a recueilli 148 voix et celle des trois groupes de gauche (PCF, PS et LFI) 91 voix, loin de la majorité absolue de 289 suffrages nécessaires pour faire tomber un gouvernement. Seules les voix favorables à la motion sont comptabilisées.

Le Premier ministre avait dénoncé plus tôt à la tribune les "combines procédurales" maniées par la gauche de la gauche pour faire de "l'obstruction" sur ce projet emblématique visant à créer un système "universel" par points.

Après treize jours d'un parcours hors norme à l'Assemblée en première lecture, Édouard Philippe avait signé samedi la fin de la partie avec le recours surprise au 49-3, cet outil constitutionnel permettant de faire adopter le texte sans vote, en engageant la responsabilité du gouvernement. Aussitôt, LR et les trois groupes de gauche avaient déposé leurs motions.

Primaires démocrates aux États-Unis : Biden prend l'ascendant sur "Bernie"

"C'est une bonne soirée !": Joe Biden a effectué un spectaculaire retour en force dans la course à l'investiture démocrate pour affronter Donald Trump, même si son rival Bernie Sanders a résisté, laissant augurer d'un âpre et long combat. Fort d'une impressionnante série de victoires à l'occasion du "Super Tuesday", l'ancien vice-président de Barack Obama a désormais le vent en poupe dans une primaire dans laquelle où "Bernie" était archi-favori il y encore deux semaines. Illustration de cet étonnant "comeback", Joe Biden a, au terme d'un coude-à-coude plein de suspense, arraché à Bernie Sanders l'Etat du Texas, un important vivier de délégués.

Du Maine à la Californie, plusieurs millions d'Américains se sont rendus aux urnes pour participer à la désignation de l'adversaire de Donald Trump qui briguera le 3 novembre un deuxième mandat de quatre ans. Joe Biden, 77 ans, a devancé son grand rival, Bernie Sanders, 78 ans, dans huit autres États : Virginie, Caroline du Nord, Alabama, Oklahoma, Tennessee, Arkansas, Minnesota, Massachusetts. Un grand chelem dans les États du sud du pays. Mais le sénateur du Vermont qui se revendique "socialiste" devait selon toute vraisemblance l'emporter en Californie, Etat encore plus crucial en termes de nombre de délégués..

Combats en Syrie : des zones du nord-ouest devenues inhabitables

Les combats dans le nord-ouest de la Syrie ont rendu de vastes zones de la région d'Idleb inhabitables pour les civils, déplacés en masse dans un secteur de plus en plus restreint et vivant dans des conditions désastreuses, selon un rapport publié ce mercredi. Le centre de recherches Harvard Humanitarian Initiative (HII) a analysé des images satellite de villes et camps dans la province d'Idleb, où le régime syrien mène une offensive d'envergure depuis décembre.

"Dans les zones examinées, les chercheurs ont estimé qu'environ un tiers des bâtiments ont été endommagés de manière significative ou détruits", selon un communiqué accompagnant le rapport écrit par le HII, le centre de l'université américaine Harvard, avec les ONG Save the Children et World Vision. "Après la fuite d'une majorité des habitants de ces zones avant ou durant l'offensive, les destructions de maisons et d'infrastructures vitales rendront quasiment impossible un retour des familles dans un futur proche", affirme le rapport.

La bataille du streaming s'intensifie en Inde, réservoir d'abonnés

Netflix et Amazon redoublent d'efforts pour conquérir l'Inde, marché clé pour le streaming ces prochaines années quand la croissance se ralentit en Occident, mais la concurrence est rude face à Bollywood et des acteurs locaux déjà bien implantés.

Grâce au nombre toujours croissant d'Indiens qui regardent des films et des émissions en ligne, les revenus du streaming devraient bondir de quelque 500 millions de dollars en 2018 à 5 milliards de dollars en 2023, selon les projections du Boston Consulting Group.

Alors que certains marchés occidentaux parviennent à saturation et que la Chine, première économie asiatique, est de facto fermée aux géants étrangers du streaming, ce pays de 1,3 milliard d'habitants dont l'équipement en smartphone explose fait saliver.

Le CAB lancé dans une course à six dans la course au maintien

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A neuf journées de la fin de cette folle saison de Top 14, deux championnats se dessinent désormais clairement. 

Huit équipes vont se disputer les six premières places qualificatives et six vont en découdre pour arracher le maintien. 

Une lutte qui s’annonce acharnée puisque seulement huit points séparent Bayonne du Stade Français. On fait le point alors que la prochaine journéede championnat, les 21 et 22 mars verra s’affronter les six équipes. Castres recevra Bayonne, Pau se déplacera à Agen alors que le CAB ira défier le Stade Français. 

Bayonne, 9e avec 33 points

Le point. Avec sept points d’avance sur la treizième place, Bayonne occupe la tête de ce mini-championnat grâce à son avantage terrain, les Basques ayant battu Castres et un meilleur goal-average que Brive. Bayonne surfe sur une bonne dynamique avec deux victoires de rang à Jean-Dauger et un bon point de bonus défensif ramené de Montpellier.Le calendrier. L’Aviron aura fort à faire avec cinq déplacements à négocier d’ici la fin de la saison dont trois chez des concurrents directs : Castres, Pau et Brive, lors de l’avant-dernière journée. Les Bayonnais auront toutefois l’avantage de recevoir lors du dernier match. Seule équipe du maintien à le faire avec Paris.

Castres, 10e avec 33 points

Le point. Depuis la gifle reçue à domicile par le Racing lors de la 14e journée, le CO va bien mieux. En atteste sa grosse prestation livrée à Bordeaux et cette courte défaite bonifiée 26-24 après deux victoires décrochées face à deux concurrents directs (à Agen et face à Pau).Le calendrier. D’ici la fin de la saison, le Castres Olympique va avoir l’opportunité de recevoir cinq matches sur neuf. Des réceptions qui n’auront toutefois rien de simples puisque Toulouse, Toulon, Clermont ou bien encore La Rochelle vont se déplacer à Pierre-Fabre.

Les Brivistes vont recevoir deux concurrents directs au Stadium : Castres et Bayonne

Brive 11e avec 33 points 

Le point. Face à Lyon, le CAB jouait déjà très gros dans sa saison. Une semaine après le coup de massue reçu par Agen, les Brivistes ont été brillants samedi dernier pour se replacer correctement au classement. Et surtout comptablement.Le calendrier. Avant la 26e journée, Brive va recevoir deux adversaires directs : Castres et Bayonne mais va devoir se déplacer à cinq reprises. La dernière journée verra d'ailleurs les Corréziens aller défier Toulouse. Pas un cadeau.

Pau, 12e avec 28 points

Le point. Dans une rencontre fermée, la Section a fini par assurer l’essentiel face à Montpellier, le week-end dernier. Les Palois restent toutefois dans une position plus qu’inconfortable avec seulement deux petits points d’avance sur Agen.Le calendrier. La prochaine journée pourrait bien changer la donne puisque Pau se déplacera chez les... Agenais pour une rencontre qui sent clairement la poudre. Les hommes de Nicolas Godignon recevront, par ailleurs, deux équipes concurentielles : Bayonne et Paris.

Le Stade Français va jouer à domicile six fois au cours des neuf dernières rencontres dont trois fois face à des concurrents directs.Le CAB se déplace à Paris le 21 mars prochain.

Agen, 13e avec 26 points 

Le point. Après être venu s’imposer au Stadium de Brive, le SUA a réalisé LA mauvaise opération de la 17e journée en étant la seule des six équipes à la lutte à s’être inclinée sans le moindre point le week-end dernier. Et de surcroît à domicile, pour la sixième fois cette saison !Le calendrier. Les Agenais ne vont, par la suite, pas être épargnés par la programmation avec  cinq déplacements en neuf matches et seulement deux rencontres face à ses concurrents : Pau à Armandie et le Stade Français, à Jean-Bouin pour ce qui pourrait bien ressembler à une finale lors de l'ultime journée.

Stade Français, 14e avec 25 points

Le point. Les Parisiens sont passés à quelques toutes petites secondes d’un succès à Toulon qui leur auraient permis de quitter la zone rouge. .Le calendrier. Sur les neuf dernières journées, le Stade Français est l’équipe qui va le plus recevoir (six fois) et le plus rencontrer ses adversaires pour le maintien avec quatre confrontation directes dont trois à... domicile (Brive, Castres, Agen) et un déplacement à Pau. 

Benjamin Pommier

Trois listes en lice à Noyant-d'Allier (Allier)

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Il y aura trois candidats pour le fauteuil de maire, à Noyant-d'Allier où Michel Lafay, maire sortant, âgé de 72 ans, a décidé de ne pas se représenter, après dix-neuf ans de municipalité et trois mandats (Michel Lafay avait été élu maire pour la première fois en 2001, réélu en 2008 et 2014).

Son premier adjoint, Yves Petiot, est candidat à sa succession. Une autre liste est conduite par Corinne Azzouz, retraitée de la fonction publique.Une troisième liste est conduite par Cao Van Tuat.

Les travaux du manoir de la Salvanie se poursuivent à Laguenne (Corrèze)

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Des échafaudages et des pierres éparpillées. Difficile de croire que dans un mois, la cour du château de la Salvanie hébergera une étape du célèbre trail Tulle Brive Nature.

 On sera prêt dans les temps. Il y a juste à déblayer un peu. Et installer des stands de nourriture 

Il est vrai que les travaux entrepris depuis un an pour remettre à neuf le manoir laissent entrevoir un beau futur… encore lointain. « On avance par étapes, au rythme des artisans, donc la rénovation devrait prendre encore 2-3 ans », estime le maire Roger Chassagnard.

D’autant que les travaux de maçonnerie ont déjà pris quelques mois de retard. La mise hors d’eau et hors d’air est quant à elle finie depuis janvier dernier. Une avancée qui va permettre le lancement de deux appels d’offres très prochainement. L’un pour entamer une nouvelle phase de rénovation du bâtiment. Et l’autre pour assurer sa sécurité. Le tout construit dans la tradition avec des matériaux durables et naturels tels que du bois, du torchis et des isolants écologiques.

Un futur ambitieux

Imaginés par l’architecte Luc Joudibaud, les contours du futur hôtel-restaurant se dessinent d’ailleurs de plus en plus. À l’intérieur, le premier étage sera consacré à la restauration et la réception. Les deux et troisième étages contiendront 19 chambres. L’extérieur a, lui, été pensé pour contenter petits et grands : des jeux, une ballade le long de la Ganette avec deux nouvelles passerelles pour la traverser.

Un beau dessin que les courageux coureurs ou marcheurs du trail TBN pourront imaginer depuis la cour du château en avril prochain. 

 

Texte : Amandine Hustache

Photo : Agnès Gaudin

Clermont-Ferrand : le concert exceptionnel d'Indochine à la Coopé complet, les 1.500 places vendues en quelques minutes

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Voilà, c'est fini. Il aura suffit, comme prévu, de quelques minutes effectives pour que les 1.500 places mises en vente depuis ce mercredi matin pour le concert exceptionnel d'Indochine à la Coopérative de mai, à Clermont-Ferrand, samedi 7 mars, soient vendues. 

1.500 tickets qui seraient partis en trois secondes si les "tuyaux informatiques" avaient été suffisamment larges, car, comme à peu près tout le temps en pareil cas, le serveur a fondu (en larmes).  Site internet en carafe, etc. Bref, vous voyez le périph un jour de "pire" ? Eh bien c'était... pire.

Sur des très gros événements, type Bercy voire stade, le résultat est régulièrement le même. Il n'y avait aucune raison, même si la vente avait été parfaitement préparée et cadrée, qu'il en soit autrement.

L'équipe "billetterie-compta-administration" de la Coopérative de mai, a subi une sorte de déferlante de fans pas toujours très mesurés (pour rester poli...). Un classique également sur de tels rendez-vous.

Indochine ça ne s'explique pas, ça se vit

Bonne nouvelle quoi qu'il en soit, dans la mesure où il s'agit d'un véritable événement qui vient en point d'orgue des célébrations du vingtième anniversaire de la salle clermontoise. Et qui confirme, si nécessaire, l'impact totalement extraordinaire du groupe de Nicola Sirkis, lequel s'apprête à fêter ses quarante ans de carrière.

Rappel: les places pour ce concert sont nominatives, n'oubliez pas votre pièce d'identité, elle vous sera demandée pour accéder samedi à la salle.

Julien Dodon

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